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 Journalistes - la meute qui pense pour nous...

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AuteurMessage
wapasha
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wapasha


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Date d'inscription : 30/04/2005

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MessageSujet: Journalistes - la meute qui pense pour nous...   Journalistes - la meute qui pense pour nous... EmptyMar 2 Aoû à 13:32

altermonde.levillage- mardi 2 août 2005, Anonyme XXI
Journalistes - la meute qui pense pour nous...
ET GLAPIT DE SOUSMISSION OU ABOIE À L’APPROCHE D’UN ÉTRANGER !


Quelques éléments de réflexion à propos de la liberté de la presse, des colusions entre monde médiatique et monde politique.


Citation :
Extrait de http://www.observatoire-medias.info/article.php3?id_article=298

Dans une introduction de La Ferme des animaux, Orwell décrit comment la censure dans les sociétés libres est infiniment plus sophistiquée et minutieuse que dans les dictatures : « Les idées impopulaires peuvent être passées sous silence et les faits gênants rester dans l’ombre sans aucun besoin d’interdiction officielle. » Un demi-siècle a passé, et le message n’a rien perdu de sa justesse. Rien de cela ne suggère une « conspiration ». Elle n’est nullement nécessaire. Les journalistes et les présentateurs de télévision ne sont pas différents des historiens et des professeurs : ils intériorisent les priorités, les modes et les bienséances du pouvoir établi. Comme certains responsables dans les hautes sphères du pouvoir, ils sont dressés ou façonnés pour écarter les doutes trop dévastateurs. Quand le scepticisme est encouragé, ce n’est pas vis-à-vis du système, mais de la compétence de ceux qui le dirigent, ou des réactions populaires telles que les journalistes les perçoivent. ... En lieu et place, les mots et les concepts nobles tels que « démocratie », « liberté » et « libération », vidés de leur sens réel, sont mis au service de la conquête. Lorsque les journalistes autorisent cette corruption du langage et des idées, ils désorientent, ils n’informent pas. Mieux, comme l’a dit Edward S. Herman, ils « normalisent l’impensable dans l’opinion publique ». ... En 1983, les principaux médias appartenaient à cinquante sociétés. En 2002, on ne comptait plus que neuf conglomérats transnationaux. Dirigée par le fils du secrétaire d’Etat Colin Powell, la Commission fédérale des communications (FCC) s’emploie à faciliter le contrôle de 90 % de l’audience américaine par la Fox de M. Murdoch et quatre autres conglomérats [3] . M. Murdoch a prévu que, d’ici à trois ans, il n’y aurait plus que trois grosses sociétés de médias, au nombre desquelles la sienne. Les vingt sites les plus visités sur Internet appartiennent à des sociétés telles que Fox, Disney, AOL Time Warner, Viacom et une poignée de géants de ce genre ; les quatorze plus gros absorbent 60 % du temps que les Américains passent sur la Toile. Une ambition leur est commune : fabriquer des citoyens mal informés et bien-pensants. Des consommateurs obéissants.

Extrait de http://www.altermonde.levillage.org/article.php3?id_article=1959

Les exigences de profit et de rentabilité communes à toute entreprise commerciale entraînent, en plus des pressions politiques, un ensemble de contraintes structurelles, et notamment, une triple dépendance des médias, à l’égard de leurs propriétaires, de leurs annonceurs, et de leurs sources d’information, la rentabilité limitant la possibilité d’investigations personnelles.

Je n’accepte pas ce jeu du pouvoir qui consiste à placer ses intérêts personnels avant ceux de la collectivité.
Ce jeu de pouvoir des journalistes qui représentent avant tout leurs intérêts personnels, et quand même un peu, il me semble, les intérêts des réseaux qu’ils fréquentent.

Mais c’est aussi mon cas, bien sûr !
Et je me débats avec ça. (cf. "Pour un journalisme libre")
Je me rends compte que c’est inscrit dans l’humain de tisser des réseaux "d’affinités électives". Donc je ne peux pas lutter contre la nature humaine, même si elle me dégoute.

Que les journalistes soient bienveillants envers le pouvoir actuel, ça commence à me gratouiller.

Qu’ils se vautrent dans l’affaire du RER D, sans aucune excuse, méprisant le peuple, continuant même à faire du spectacle sur leur propre saleté (l’emballement des médias), persistant jusqu’au bout (nous avons eu raison, même si les événéments ne se sont pas produit), et un Chirac qui nous dit "c’est regrettable... mais je ne regrette pas", face à PPDA, ça me révolte !

Je n’ai jamais vu un président aussi fou, aussi méprisant, et ça m’est insupportable.

Que faire de cette frustration ?
attendre 2007 pour voter ?
et puis quoi ?
on va nous remplacer Chirac par un Juppé, un Sarkozy ou un Hollande ? Nous allons continuer à subir des êtres aussi médiocres, aussi insultants ?
Car ce sont eux qui nous insultent, chaque jour, par leurs discours truqués, préfabriqués, et leurs actes méprisant !

Arnaud Montebourg et son Nouveau Parti Socialiste (NPS) proposerait-il une solution de remplacement ?

Anonyme XXI, le réformiste.
source : http://altermonde.levillage.org/article.php3?id_article=2054

@+
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