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 le sinistre de l'intérieur grille les feus rouges à Toulouse

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wapasha
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wapasha


Nombre de messages : 4560
Localisation : Pays des Abers
Date d'inscription : 30/04/2005

le sinistre de l'intérieur grille les feus rouges à Toulouse Empty
MessageSujet: le sinistre de l'intérieur grille les feus rouges à Toulouse   le sinistre de l'intérieur grille les feus rouges à Toulouse EmptyVen 15 Juil à 18:47

grainvert-15/07/05
le sinistre de l'intérieur grille les feus rouges à Toulouse : la suite !

Citation :
le sinistre de l'intérieur grille les feus rouges à Toulouse Arton731 Février 2004 : Faites ce que je dis, mais ne faites pas ce que je fais, telle pourrait la devise du gouvernement Raffarin. Après avoir mis en place, enfin, la courageuse campagne sur la violence routière qu'elle avait toujours combattu lorsqu'elle était dans l'opposition, l'UMP pédale dans le yogourt et s'éxonère de nos propres lois. Ainsi, le chauffeur du ministre en goguette fait le chauffard à Toulouse... Résultat : Un ignooooooble attentat : Un jeune toulousain va comparaitre le 25 mars 2004 devant le tribunal correctionnel pour avoir "yaourté" la voiture de Nicolas Sarkozy, en visite à Toulouse. Ce militant anti-voiture qui prône la "vélorution " dit avoir été choqué que le cortège du ministre emprunte un sens interdit dans une ville où les cyclistes sont verbalisés à la moindre infraction. Il a récupéré 2 yaourts périmés dans une poubelle et les a lancés sur le cortège. Ils ont atterri sur la 607 du ministre. Au terme de 24 heures de garde à vue, le jeune homme a été mis en examen pour "outrage" ; il risque 6 mois de prison et peut-être un nettoyage au Karcher ?

Flash Juillet 2005


cette histoire à rebondissement prend un carractère surréaliste, à lire le communiqué posté sur indymédia toulouse et que nous reprennons texto :

Encore une cavale d'un vélorutionnaire toulousain

le vendredi 7 juillet en milieu de matinée, les poulets ont débarqué chez ma compagne pour m'arrêter. A priori le maire2 toulousain n'a pas apprécié la lettre que je lui ai déposé la veille, exigeant des excuses pour l'arrestation et la séquestration arbitraire dont j'avais été victime de la part des miliciens municipaux le 16 décembre 2004.

Début juin j'ai appris que j'étais poursuivi au tribunal correctionnel, et la poltronne juge Lacolle a décidé de me juger hors de la présence de l'avocat qui n'avait que quelques minutes de retard et qui avait prévenu le greffier d'audience. Il n'était que 9h30 du matin, elle avait toute la matinée pour reporter l'audience mais elle a préféré juger et me condamner à 800 euros d'amende, ainsi que rejeter ma constitution de partie civile pour les plaintes que j'avais déposé, agrémentée de preuves irréfutables encore une fois.

J'ai donc menacé le maire2 et ses adjoints de leur balancer fruits, légumes et yaourts périmés si je n'obtenais pas rapidement des excuses, quant aux poulets qui voudraient m'arrêter je le prévenais que ce serait à leurs risques et périls. Est-ce trop ? Je ne pense pas que qui que ce soit dans l'association des vélorutionnaires ou ailleurs puisse dire quelque chose, vu le soutien quasi-inexistant dont j'ai disposé depuis l'origine, que ce soit dans la mécanique, les manifs, les procès, la récup, les affiches et collages, etc.

Bien sûr il y a les bien-pensant-e-s, ces pacifistes mous qui laissent toutes les horreurs se produire sans les empêcher d'une façon quelconque, il y en a quelques un-e-s qui l'ouvre mais au bout du compte personne n'agit et les catastrophes auront bien lieu. si les résistant-e-s et militant-e-s d'hier nous voyaient aujourd'hui, avec la pudibonderie ambiante des réseaux "militants", nul doute qu'ils cracheraient sur tous les moralistes de salon d'aujourd'hui, ces militant-e-s qui ne sont qu'une bande d'incapables et de lâches. Les boutonneux d'ici et d'ailleurs, comme les autres plus anciens et tout aussi lâches, savent que j'ai raison, que si on ne fait rien qu'agiter des belles paroles on va tout droit à la catastrophe.

Si je suis arrêté je risquerai à nouveau d'aller en taule, mais si ce cap est franchi alors je n'hésiterai plus, et votre pacifisme à la con aura fait de moi un martyr, pas les flics et les juges. Parce que lorsque ma compagne a été embarquée au mois de mars personne n'a réagit, et lorsque ce fut mon tour d'être arrêté en mars et en avril je n'ai vu personne se bouger, pas même les gens de Chiche, pourtant co-organisateurs des manifest'actions vélorutionnaires, au point qu'ils furent même absents lors des procès correspondants (15 février et 23 juin, dans le premier ils n'étaient que de banals spectateurs, dans le second cas ils ne se sont même pas déplacés).

Me voilà à nouveau en cavale, que ce soit l'été ou non je constate toujours les mêmes lâchetés de part et d'autres, on dit que je l'ai cherché (il n'y a que les idiots qui peuvent dire cela et ils sont malheureusement trop nombreux), je m'en fous, d'ici quelques temps tout le monde sera fixé sur mes réponses face aux mafias judiciaires et policières, nul doute que là aussi les critiques pleuvront mais je préfère prévenir que guérir, vaudrait mieux arrêter de dire et commencer à faire.

Comment en est-on arrivé là, toute l'histoire, que nous reprennions en février 2004 :

Un communiqué des vélorutionnaires de Toulouse, qui ne manque pas d'humour !

le sinistre de l'intérieur grille les feus rouges à Toulouse Lavelorution Communiqué officiel des Forces de Libération Intergalactique des Cyclistes Sidérant-e-s (FLICS)

A tou-te-s les et à leurs allié-e-s intergalactiques, c'est-à-dire les amibes et paramécies, microbes et insectes, animaux à poils, à plumes et à écailles, aux handicapé-e-s, béquilles, fauteuils, enfants, piéton-ne-s, mono, bi et multi-cyclistes, trottinettes, patinettes, roulottes, calèches, cabs, bicytaxis, pousse-pousse, chaises à porteurs, skis, charettes, carrioles, chariots, diligences, traîneaux, patins, planches et rollers, pédalos, rosalies, barques, canöés, kayaks, ailes delta, ballons, parachutes, planeur-euse-s, voiliers et voluptes volantes intersidérales, (et probablement quelques altermondialistes urbains capables d'utiliser des yogourts ou toute autre arme blanche de la voie lactée !)

À toutes et tous bienvenue à cette première séance des théâtres d'opérations populaires et intergalactiques.

Aujourd'hui nous devons nous réunir pour évoquer deux affaires qui nous concernent de près. Avant de les évoquer plus en détail, je dois, au nom des vélorutionnaires, vous rappeler la situation des transports terrestres. Depuis plus d'un siècle, nous avons vu apparaître et croître la civilisation des ordures pétrolières et de leurs pendants automodébiles. Ne respectant ni les individu-e-s ni l'environnement, ils ont massacrés des milliards de personnes dans leurs guerres ici et ailleurs, semés partout des cadavres sur les bitumes crasseux dans de prétendus « accidents », dispersés 100 fois plus d'handicapé-e-s, achevant de traumatiser l'ensemble des populations humaines, animales et végétales par leurs pollutions gazeuses et sonores, en saccageant toute forme de vie, de liberté et de respect mutuel.

- Tou-te-s les vélorutionnaires se sont engagé-e-s à dire : ça suffit !

- Fini, les concerts-cancers des pots d'échappements !

- A bas, les feux sanglants et les sens d'interdire tout et n'importe quoi !

- Terminé, les codes de la déroute criminelle et les génocides légaux

- Anéanti, les terroristes des synthétiques et les fanatiques de la gâchette pétrolière

- Achevé, les haines « accidentelles » et les erreurs de « parcours »

- Oublié, les armadas de Klaxons et les kamikazes de la route

- Eliminé, les cadences infernales des embouteillages et les talibans des usines chimiques

- Ca suffit ! La bicyclette n'a ni Dieu ni Maître, pas même un propriétaire, juste un passager.

L'air est saturé de gaz et de bruits ; l'atmosphère, les eaux et les terres sont souillées par les hydrocarbures et la clique du moteur à explosion, sponsorisée par des marchands de canon, construit des routes peuplées de cadavres et de traumatisés. Les multinationales de la bouffe construisent des « Drive-in », les grandes compagnies nous gavent de publicités sexistes et mensongères, les industriels nous chantent les louanges de la surconsommation en massacrant nos espaces naturels et culturels, mettant en panneaux et en publicités débiles nos consciences lessivées.

Nos élus (borgnes, escrocs, yaourté-e-s ou battus), ainsi que leurs « Très Haut » fonctionnaires se pavanent à l'intérieur des derniers modèles luxueux de limousines avec chauffeurs. Ces dernières années, ils ont même décidé de nous Parker dans des bandes et pistes, ghettos modernes et mortels bien entendu pour les cyclistes, ou de nous sanctionner pour nos infractions au code de la déroute, parachevant ainsi leur dictature pourrie.

le sinistre de l'intérieur grille les feus rouges à Toulouse Bike1-a Nos armes intergalactiques sont totalement pacifiques, propres, silencieuses, simples, rapides, gratuites… La petite Reine, sacrifiée sur l'autel du pognon par des ordures pétrolières, chimiques, nucléaires, et éliminée inexorablement par des automodébiles ne doit pas non plus sa survie à la république automodébile française, voilà pourquoi les vélorutionnaires reconnaissent n'être pas concerné par le code de la déroute, s'affranchir des lois illégitimes de l'état, et préfèrent se référer aux principes et conseils énoncés dans le code vélorutionnaire.

Aujourd'hui marque un tournant, les vélorutionnaires créent

le tribunal populaire intergalactique

qui est chargé de juger, par la volonté populaire, toutes les atteintes aux principes de base de la Vélorution et de la révolution des lumières, j'ai nommé :

justice, raison, liberté pour toutes et tous, vérité, fraternité totale, égalité parfaite, poésie, enfin dans le respect des règles de la démocratie la plus avancée (la démocratie directe, pas celle qui nous oppresse encore actuellement : l'automo-débilo-cratie bourgeoise).

Son fonctionnement est simple, nous donnons accès à toutes les pièces du dossier à l'ensemble des participant-e-s de la séance, nous élaborons ensuite des solutions qui respectent les principes vélorutionnaires et doivent empêcher la reproduction des actes cruels et criminels. Ces alternatives pacifiques seront mises en œuvre par les forces de libération intergalactiques des cyclistes sidérant-e-s et tout le monde peut y prendre part. Voilà pour les règles. Des questions ?

La première affaire concerne la soi-disante « justice » toulousaine et les forces du côté obscur de l'empire automodébile sarkosien et de ses volailles.

Le 8 août 2002, l'un de nos commandants a été agressé, insulté, menacé, calomnié, séquestré et condamné en première instance par la cour correctionnelle des automodébiles à une peine temporaire d'esclavage. L'accusation ne repose sur rien, seulement sur les mensonges de quelques poulets qui ont prétendu avoir ainsi été outragés par ce commandant, je cite : « la police ne regroupe que des escrocs, la police ne sait pas travailler, la police emmerde tout le monde. » Quant au commandant, il prétend n'avoir grillé qu'un banal feu, sans porter atteinte à la moindre personne ni même en s'imposant arbitrairement sur la chaussée face à un enfant -comme il a été dit-, qu'ensuite il a été insulté et tutoyé dès le début en ces termes : « Va t'garer là-bas p'tit con ! » puis par toute une série de familiarités et d'injures tel que « p'tit pédé… »

Au tribunal, les magistrats n'ont même pas respecté leurs propres règles déontologiques, à savoir de transmettre à la défense les pièces à charge du dossier entre leurs mains. Ce n'est qu'au moment du premier appel, soit 16 mois après les faits, qu'à sa demande insistante, le juge et le procureur ont daigné les lui remettre, avant de renvoyer l'audience à aujourd'hui, 25 février 2004 à quatorze heure. Nous avons pu découvrir alors que des « faux et usages de faux en écritures publiques », passibles de la cour d'assise, avaient été commis par les policiers (ce qui est avéré par le rapport de l'expert graphologue), qu'en plus le commandant a pu fournir une autre preuve de sa bonne foi par la révélation suivante :

il avait fait un mois auparavant, le 1er juillet 2002, une main courante où il signalait le harcèlement d'une jeune femme et le vol de son vélo par une ordure automodébile et défoncée. Si, comme l'a prétendu la volaille, ce commandant avait des griefs à faire à la police, alors il n'aurait pas signalé le harcèlement et le vol et aurait fait « justice » lui-même, ce qui n'est pas le cas.

En outre, ce commandant - qui a attaqué le convoi de l'ignoble sinistre de l'intérieur à coup de yogourt intergalactique en provenance et à destination directe de la voie lactée par la traversée des espaces inter sidérants le 2 février 2004 - ce commandant donc a été de nouveau capturé mais lors de sa garde-à-vue les policiers ont oublié de lui retirer son magnétophone ; il a ainsi pu enregistrer les menaces que lui faisait l'un des policiers impliqué dans l'affaire qui nous occupe aujourd'hui.

Ces preuves, nous les portons à votre connaissance afin que vous déterminiez dans un premier temps si le commandant ou les policiers sont ou non coupables. Ensuite, vous devrez déterminer les sanctions qui s'imposent afin que cet arbitraire ne puisse plus se reproduire. Vous savez également quelle est la position des magistrats à présent, ils ont décidé de ne pas rejuger l'affaire malgré les éléments déterminants qui accusent les policiers et innocentent notre commandant, le fait qu'en plus l'une des magistrats est reconnu en appel que les propos et actes que les policiers ont eu n'empêche pas la décision en première instance à savoir 40h d'esclavage alors que le commandant est innocent des faits dont on l'accuse et le prouve.

Cette décision, qui n'est que le point final d'une lâcheté supplémentaire de l'injustice des automodébiles et des ordures pétrolières, cette décision témoigne de la corruption et de l'ignominie de celles et ceux qui se cachent derrière une parodie sinistre de justice pour continuer à exercer leur dictature. Les magistrats sont incapables de juger sur le fond parce que trop lâches, notre commandant est débouté de toute justice pour un soi-disant vice de procédure car son appel aurait été fait au 14è jours après la condamnation, et non le 10è.

N'acceptant, à juste titre, de n'être jugé que par ses pairs, puisque l'honneur et la dignité le commande, le commandant a fait appel aux vélorutionnaires et à leurs allié-e-s pour obtenir réparation. Le rendez-vous est fixé au

Toulouse : 1er avril à 18h dans l'art-circuit - 39 rue Peyrolières,
au coeur de la ville rose et de l'empire de la civilisation automodébile),

apportez des poissons à l'huile - sardines, anchois, etc... - pour un hommage. (faites passer !)

Dans le cyber espace, Le site officiel de la vélorution est là


Une réponse pleine d'humour, sur le site ouèbe demesuredupossible, très créatif :

le sinistre de l'intérieur grille les feus rouges à Toulouse Bio_sarko

Source
source : http://www.grainvert.com/article.php3?id_article=731

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