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 Peu de militaires d’active impliqués dans le complot

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FleurOccitane
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Date d'inscription : 30/04/2005

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MessageSujet: Peu de militaires d’active impliqués dans le complot   Peu de militaires d’active impliqués dans le complot EmptyMar 10 Jan à 21:47

Citation :

Venezuela - Peu de militaires d’active impliqués ds le complot début décembre

Venezuela Ils n’ont pas réussi à impliquer des militaires dans le complot du 4 décembre 2005

de Jesús Moreno Diario Vea

Selon les recherches en cours on a pu savoir que les auteurs du plan de déstabilisation ont essayé de capter des officiers se trouvant à la tête d’unités qui disposent d’une forte capacité de feu, comme les blindés, l’artillerie, les avions de chasse et les frégates.

Comme l’objectif initial était de semer la terreur parmi la population civile -ce pourquoi ils parlaient sans scrupule de quinze mille morts- et dans les unités militaires à moindre puissance de feu qui auraient été attaquées, le plan comportait un petit nombre d’actions mais à grande capacité destructive, afin de créer le climat favorable pour leurs objectifs postérieurs. C’est alors que seraient apparus les facteurs externes, aussi bien politiques que militaires ; il ne s’agissait donc pas de quantité mais de qualité.

Cette vision a mené les conspirateurs, civils et militaires retirés, à s’approcher de pas moins de 50 officiers, allant des grades de capitaine à lieutenant-colonel, se trouvant à la tête de troupes et d’équipements à haute puissance de feu. Ces démarches ont échoué en raison du refus de la grande majorité des officiers approchés de différentes façon : utilisation de personnes de la famille, d’amis intimes, dans certains cas de l’argent a été proposé, dans d’autres cas une ascension immédiate de grade a été promise. A aucun moment ces offres et propositions n’ont connu le succès, ce qui a empêché que ne se produise le grand massacre.

Comme l’a exprimé le vice-président de la République, le docteur José Vicente Rangel, après le retrait des élections, et les escarmouches terroristes, le plan continue ; il faut donc rester en alerte.

Le fait que les conspirateurs civils et militaires aient sondé de nombreux officiers rend l’enquête très délicate, parce qu’elle doit préserver la dignité, l’honneur, la loyauté et le sentiment patriotique portés par l’immense majorité de tous les officiers. Ces derniers, en raison du fait qu’ils sont commandants d’unités, et sans être compromis le moins du monde dans le plan ni dans rien d’identique, ont été convoqués, convoqués à des réunions, ou bien ils ont reçu des messages par différentes voies et des offres par différents intermédiaires. Jusqu’à maintenant on sait qu’ils n’ont eu de réponse positive que d’un nombre insignifiants d’officiers d’active, le chiffre ne dépassant deux ou trois, ceux qui ont écouté le chant des sirènes, parmi lesquels certains se sont effectivement prêtés à de minuscules actions, comme l’installation de bombes ou la distribution de tracts dans quelques casernes. On ne sache pas que des officiers d’active soient impliqués dans l’explosion de l’oléoduc.

De la même façon on a su que parmi les financiers il y a des banquiers et des entrepreneurs d’autres secteurs, mais dans une si faible quantité qu’ils ne compromettent pas le monde de l’entreprise.

Cette semaine davantage d’informations devraient être apportées par les porte-parole de l’Assemblée Nationale, parce que les investigations s’orientent aussi vers la recherche des relations politiques ; il est en effet étrange que dans la formulation générale du plan, le boycott des élections législatives représente un des points initiaux, l’objectif étant dans l’ambiance des actions terroristes d’obtenir la plus grande abstention possible. C’est sur ce point qu’apparaissent les coïncidences ou les complicités avec les décisions prises par les partis, AD, COPEI, Primero Justicia, Proyecto Venezuela et Nuevos Tiempos dans l’Etat de Zulia. En fait les investigations essaient d’éclaircir ce point, à moins que les partis de l’opposition ne le fassent de façon probante. Jusqu’à présent ils ont tous pris le chemin de la banalisation médiatique.

Jusqu’à présent on travaille sur la base de l’hypothèse que si les partis étaient au courant du plan de déstabilisation c’était au niveau des hautes directions, et y compris seulement quelques dirigeants bien sélectionnés, « les choisis » qui ont su occulter leurs objectifs non seulement à leurs bases mais également, mais également à la grande majorité des cadres dirigeants des partis. Cela expliquerait le débat intense et prolongé, pendant plus de dix heures à la direction nationale de Primero Justicia, le 1er décembre lorsqu’ils ont annoncé leur retrait des élections. Certains dirigeants connaissaient le plan et d’autres non ? Nous l’ignorons, mais le temps nous apportera la vérité.

De : Jesús Moreno
vendredi 16 décembre 2005

http://bellaciao.org/fr/article.php3?id_article=21551
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