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 Le problème sarkozy

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wapasha
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wapasha


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Le  problème sarkozy Empty
MessageSujet: Le problème sarkozy   Le  problème sarkozy EmptySam 16 Juil à 18:15

altermonde.levillage- samedi 16 juillet 2005, Jean Dornac
Nicolas Sarkozy fait son « marché »... par la sélection.

Comment combattre une thèse et l’homme qui la porte, alors qu’elle semble « rationnelle » à première vue ? Et ceci à une époque où « la rationalité » l’emporte sur la « conscience » ! Cette question, je me la pose depuis plusieurs jours. Dans une société aux valeurs solides, cette question n’aurait pas lieu d’être, les seuls excès de paroles et de gestes du ministre et chef de parti politique l’auraient disqualifié automatiquement.


Citation :
Ainsi, lorsque Sarkozy parle de « nettoyer » un quartier, en désignant les humains vivant là comme s’il s’agissait d’insectes nuisibles ou de détritus malodorants, le bon sens voudrait qu’il soit discrédité ; ainsi, lorsque ce même Nicolas Sarkozy couvre les bavures d’une police aux méthodes inacceptables au moment même où l’on apprend qu’un jeune de 15 ans vient de perdre un œil à cause d’un tir de « flash-ball », le bon sens voudrait que nous demandions sa démission ; ainsi, lorsque cet homme politique use d’un langage provocateur, populiste, à bien des égards grossiers, imitant les dialogues des mauvaises « séries B américaines », le bon sens voudrait que le peuple de France se détourne de lui et définitivement. Or, ce n’est pas le cas, tout au contraire. C’est très inquiétant quant à la santé morale [1] d’un grand nombre de citoyens de ce pays. Où est passé le sens critique des citoyens ? Où est passé l’humanisme supposé de ces mêmes citoyens ?

Il y a bien sûr des explications...
Nous évoluons dans une société où tout est mouvant autour de nous et, trop souvent, en nous-même également. En écrivant ces mots, je ne prône pas le retour à un quelconque « ordre moral » supérieur. Mais on ne construit rien sans convictions fortes étayées par des expériences de vie. C’est la différence fondamentale entre les humanistes et trop de politiciens qui eux aussi ont des convictions fortes mais uniquement au service de leurs ambitions, donc de leur orgueil. La société de consommation et l’idéologie qui la sous-tend, ont ceci de pernicieux qu’ils ramollissent considérablement ce que nous nommons la « conscience ». En transformant, au travers de « marées » publicitaires sans fin, le sens de nos vies et de nos corps en « déchetteries de biens de consommation », il est naturel que nous ne soyons plus que des apparences d’humains. Une vie humaine ne peut se résoudre à consommer puis éliminer des aliments ou des objets majoritairement inutiles et dont les seules raisons d’être sont tout juste la survie de ceux qui les fabriquent et prioritairement l’enrichissement des milieux patronaux, des actionnaires, des politiciens et de quelques groupes de parasites. Cette société de consommation et l’idéologie de la croissance infinie ont dilué nos valeurs essentielles y compris les trois mots toujours mis en avant, mais totalement vidés de sens : « Liberté, égalité, fraternité ». On célébrait, il y a deux jours notre fête nationale ; je ne me suis associé à rien de tout cela parce que ce serait refuser de voir, de comprendre et de dire que désormais tout cela n’est plus que vile hypocrisie.

Je parlais, plus haut, du langage trop souvent grossier de Nicolas Sarkozy. Il faut réaliser, au plus profond de nous-mêmes, qu’aujourd’hui, dans la réalité des faits, ce sont des mots comme « conscience, fraternité, solidarité » qui sont devenues des grossièretés. Aucun dirigeant, qu’il soit politique, économique ou médiatique, partisan du libéralisme sauvage, ne peut accepter ces mots au sens si profondément humaniste, parce que, compris et appliqués, ces mots empêchent les manipulateurs de nos esprits de prendre la totalité du pouvoir. Ces mots-là, lorsque nous vivons de leur sens profond, sont des antidotes puissants à l’égoïsme néolibéral ou ultralibéral ; ils sont les antidotes à toutes les dictatures. C’est la raison pour laquelle Nicolas Sarkozy, tout comme Jean-Marie Le Pen, tente de ridiculiser les humanistes, les défenseurs des droits de l’homme.

Le « marché » de l’immigration
Revenons plus précisément à Nicolas Sarkozy. Le ministre et chef du parti de la droite extrême, parce qu’il est un soutien inconditionnel du système libéral est, qu’il le veuille ou non, complice des dérives imposées aux individus que nous sommes. Lorsque je l’entends parler de l’immigration qu’il prétend « choisir », je me dis que Sarkozy « va faire son marché ! » Il choisit son légume, ses pâtes, sa viande, tout cela en fonction de quelques critères prédéfinis. Ce politicien, comme tant d’autres, a l’esprit tellement dénaturé par la notion creuse et plus que virtuelle de « marché » qu’il ne peut plus rien concevoir qui ne soit, sous une forme ou une autre, une marchandise, en incluant, naturellement, les humains, du moins dès qu’ils ne font pas partie des « élites » pour qui ce marché virtuel est conçu et imposé aux foules.

Lorsqu’il fait comprendre qu’il faut « sélectionner » [2] les immigrés en fonction de nos besoins, il réagit comme la ménagère qui va choisir ses légumes en fonction de ses besoins ! Seulement, on ne trie pas les humains en fonction d’un besoin ; si on est civilisé, on ne trie jamais les humains ! « Sélectionner » des humains est un langage qui rappelle aux gens de ma génération ce que leurs parents rapportaient des discours atroces des racistes nazis. Cela nous rappelle la notion qui a présidé à tous les génocides ! Ça fait froid dans le dos !
En outre, on ne va pas dans un pays pauvre pour faire son marché « de cerveaux » ! Je trouve choquant cette manière de trier entre les « bons » immigrés, ceux qui peuvent rapporter gros et les « mauvais » immigrés, les pauvres de toujours et qui le resteront par volonté et dans le seul intérêt des pays riches. Ce sont des hommes, non de non !

Cela veut tout de même dire que dans l’esprit du ministre, un certain nombre d’humains n’est pas digne d’être reçu dans un pays toujours très riche, qu’ils peuvent « crever » chez eux, personne ne s’en souciant puisqu’ils ne « rapportent rien ». C’est ça que cela veut dire ! Mais comme je l’ai déjà écrit dans des articles précédents, cela signifie aussi la poursuite d’une politique totalement conforme au tragique colonialisme des « vieux » libéraux que, d’ailleurs, les amis de Nicolas Sarkozy veulent réhabiliter (voir : Débile et tragique : Loi sur le rôle positif de la colonisation). En fait, il s’agit de la volonté explicite de piller les meilleurs cerveaux émergeants dans les pays pauvres, en remplacement de ressources naturelles ne pouvant plus être pillées en raison de leur raréfaction. L’esprit et le résultat seront les mêmes : sans les ressources naturelles dont ils ont été constamment spoliés depuis des siècles, ces pays sont forcément restés pauvres et dépendants des pilleurs ; sans les cerveaux que nous allons piller, ces pays sont encore une fois condamnés à ne pas évoluer, à ne pas sortir de la pauvreté dans laquelle les pays colonisateurs les ont consignés.

Le « marché » des extrémistes
En bonne ménagère, Nicolas Sarkozy, toujours en vue de sa volonté de devenir Président de notre pays, entreprend de faire ses courses dans bien d’autres marchés. Ainsi en est-il des extrémistes de tous genres dont il s’agit de faire provision pour les futures élections.

Son langage outrancier, effectivement populiste, mais dans le sens le plus vil, est la monnaie qui lui permettra « d’acheter » nombre de citoyens qui croient encore dans les « valeurs » du Front National. Mais ce langage de « costaud sans cervelle », façon « films américains pour bouffeurs de Mc Do », pour esprits frustes et consommateurs obsédés, doit aussi, selon sa stratégie, amener dans son panier de ménagère, tous les esprits trop faibles qui admirent naturellement la forme d’un tel langage. On entend, ici ou là, des gens s’esbaudir devant le « langage de vérité » de Sarkozy ; applaudir devant « la fermeté » du ministre. Car, oubliant toute notion de fraternité et d’égalité entre hommes, pour ces gens formatés à la sauce TF1, les étrangers sont de la « racaille » ; les immigrés sont tous des « voleurs », des « fainéants », des « profiteurs » tout comme les chômeurs ; d’ailleurs, ne sont-ils pas justement le gros du bataillon des chômeurs ?

Et, grâce aux derniers attentats de Londres, il sera aisé, de plus, d’appuyer sur la leçon de GW Bush : « Tous les islamistes sont des terroristes ». On connaît ce refrain exécrable du racisme d’Etat fait d’amalgames entre la haine raciale ajoutée à la haine religieuse et les intérêts économiques d’Etats égoïstes et dominateurs. Hélas, trop de citoyens en France n’attendent que de telles paroles : Sarkozy va dans leur sens, ce qui les confortent dans leurs certitudes et les flatte. C’est tragique. On m’a même rapporté, un cas en Moselle et un autre à Paris, de gens qui espèrent que Sarkozy « fera comme Hitler ». On en est là ! Ce ne sont, heureusement, que des cas isolés, mais cela montre à quel point les thèses inhumaines avancent dans ce pays. On craignait que l’antisémitisme ne progresse, mais c’est pire encore et c’est attisé par des sionistes avérés, prétendument intellectuels, à qui l’on ouvre grand les vannes de la télévision, tant publique que privée.
La suite en dessous :
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wapasha
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MessageSujet: Re: Le problème sarkozy   Le  problème sarkozy EmptySam 16 Juil à 18:15

Suite :

Citation :
Marché pour Bush
Il est légitime de se demander quels sont les intérêts que sert en priorité Nicolas Sarkozy. En premier, bien sûr, il sert ses ambitions démesurées. Il cherche aussi, et c’est évident au travers d’un certain nombre de phrases, à compenser son origine immigrée qui n’est pas très ancienne. Il y a là une sorte de frustration qui n’a pas de sens mais qui est bien présente. Mais au-delà, il sert la politique de Bush, c’est évident, c’est criant même. (Voir : Don Sarko et l’internationale sioniste). En servant le président américain et son idéologie, il entre dans la même démagogie aux effets tragiques et pervers.

Les derniers attentats de Londres lui permettent de faire encore plus allégeance aux thèses des ultralibéraux excités qui donnent leurs ordres au Président américain. L’Amérique des idéologues ultralibéraux veut, on le sait, on l’a vu, s’emparer des dernières réserves de pétrole. Pour cela, les dirigeants américains veulent exporter la « démocratie » au Moyen-Orient. Mais pour justifier ce besoin impérieux d’installer des « démocraties » à l’occidentale, il faut bien sûr commencer par diaboliser ces pays et ce qui les anime en particulier : l’Islam. En conséquence, les attentats de New York, Madrid et Londres ne peuvent être présentés que comme l’œuvre de fous, de fanatiques qui se font sauter ou tuent des innocents sans la moindre raison. Ça, désolé, c’est de la propagande et rien d’autre.

Ce n’est pas soutenir et approuver de tels actes que de dénoncer ce discours parfaitement scandaleux ; ce discours éloigné de toute vérité permet d’occulter le drame que fut le colonialisme et qu’est toujours le néocolonialisme. Il permet de faire abstraction des crimes commis sans cesse contre des peuples entiers. Demandez donc aux Irakiens ce qu’ils pensent des 100 000 (et peut-être plus actuellement) victimes de la guerre déclanchée par Bush junior ! Demandez donc aux Palestiniens ce qu’ils pensent de cet occident qui aide le gouvernement Sharon à piller leurs terres, leur eau et jusqu’à leur vie ! Aussi atroces que soient les attentats aveugles qui visent, hélas, prioritairement des vies innocentes, la balance de l’horreur penche presque totalement du côté des abominations commises par l’occident et non pas l’inverse.

Cette politique du crime d’Etat ne sert que l’ambition de personnages falots ; je parle de nombreux politiciens un peu partout dans le monde. Cette politique criminelle sert également à l’enrichissement des grandes compagnies, des multinationales du pétrole, de la chimie et j’en passe, ainsi que tous les groupes financiers y compris les groupes mafieux, mais jamais les peuples, pas même le peuple américain au sein duquel les travailleurs pauvres sont de plus en plus nombreux.

Les derniers attentats de Londres permettent à Nicolas Sarkozy d’enfoncer un peu plus la France dans la complicité très active avec la politique anti-islamique américaine. Il vient de déclarer, à Madrid :
« Je demanderai l’expulsion systématique des imams présents en France qui tiennent des prêches radicaux ». Seraient-ils les seuls à tenir de tels discours ? Sur quels critères seront jugés les prêches ? Quel filtre servira ? Qu’est-ce qui permettra de définir qu’un prêche est radical et un autre ne l’est pas ?

Une fois de plus, comme un mauvais tic, Nicolas Sarkozy peut jouer aux gros bras :
« La République n’est pas un régime faible et n’a pas à accepter des discours qui sous prétexte de se tenir dans un lieu de culte appellent à la haine et à l’assassinat. Ceux qui persévéreront dans cette voie seront systématiquement l’objet d’une procédure d’expulsion ».
C’est très bien de ne pas accepter la haine, mais encore, pour être cohérent, faut-il ne pas s’y livrer soi-même :
« Je ne connais qu’une politique contre ces gens, la fermeté, les arrêter, les punir, les châtier, à Madrid, à Londres, à New York, partout ».
Moi j’appelle cela de la haine, mais une haine d’Etat, dont les dirigeants décident qu’elle est légale. Ce qui est remarquable, par ailleurs, dans cette dernière phrase, c’est le rapprochement que fait Sarkozy. Comme par hasard, il nous lie, sans nous demander notre avis, à la politique américaine de Bush et de ses alliés principaux de la dernière guerre d’Irak : On retrouve bien sûr les USA, mais aussi l’Espagne et surtout l’Angleterre. Vous croyez au hasard ? Moi, non !

En fait, Nicolas Sarkozy sert tout ce qui dessert les peuples, mais en cherchant à amadouer ces mêmes peuples par un langage inacceptable. Il reste incompréhensible que de nombreux Français ne comprennent pas cela et semblent prêts à se jeter à « âmes perdues » dans les bras gourmands de ce personnage. Ce type de sommeil des consciences a jeté plus d’un peuple dans les bras de tyrans sanguinaires. Il serait bon de ne pas oublier les leçons de l’histoire...

Comment contrer le personnage ?
C’est là un exercice difficile et c’est un autre point qui le rapproche de Jean-Marie Le Pen. Parler de ses scandaleux propos le sert ; c’est ce qu’il cherche tant il a soif et besoin qu’on parle de lui, tant il a besoin d’occuper tout l’espace médiatique. C’est le principe de la publicité ; il faut noyer le consommateur sous une avalanche de faits, qu’ils soient dignes ou indignes peu importe, pourvu qu’ils soient provocateurs. Les phrases outrageuses de Le Pen avaient ce dessein, celles de Sarkozy également.

Il semble donc sage, a priori, d’ignorer Nicolas Sarkozy, justement pour ne pas l’aider à mettre en pratique sa stratégie. Cependant, les principaux médias, usent de ce « marché » à la fois pour vendre leurs mauvais papiers mais aussi parce que la « valeur Sarko » semble être une valeur porteuse pour les années à venir, en termes d’affaires pour les milieux financiers libéraux. Sauf à de rares exceptions près, il ne faut pas s’attendre à des articles critiques, à des analyses de fond. Il s’agit, en fin de compte, comme pour le TCE, de manipuler l’opinion, de l’amener à choisir, volontairement, ce qui lui est le plus nuisible.

Nous n’avons donc pas d’autre choix que de parler, nous aussi, de Sarkozy. Cela n’a rien de réjouissant, c’est même franchement pénible tant les « idées » du personnage sont des « repoussoirs » pour tout humaniste. Je crois que nous devons trouver une ligne médiane peu évidente. Nous ne pouvons pas faire autrement que de relever les paroles odieuses, mais, il faut qu’en tant qu’associations et en tant qu’individus, nous le laissions « de côté » en raison de ce que nous percevons de lui.

Ainsi, ce n’est qu’une piste que je propose, lorsque nous avons des pétitions ou des actions à réaliser, ne nous adressons pas à lui, mais à des personnages qui, bien que nos adversaires, ont gardé un minimum de crédibilité, si petite soit-elle. Ne donnons pas à Sarkozy l’occasion de se vanter de s’être battu pour ceci ou cela. Coupons-lui l’herbe sous les pieds en nous adressant, en cas de nécessité, au Président de la République, au Premier Ministre ou à d’autres ministres, mais pas à lui. C’est un genre de boycott que je propose. Nous ne pouvons pas nous adresser à n’importe qui, fut-il ministre de la République.

Une autre piste qui m’a été suggérée hier par un ami, c’est de patiemment « démonter » le système Sarkozy, donc, aussi pénible que ce soit, d’analyser le pourquoi et le comment du personnage ; de bien étudier quels sont ses soutiens, les moyens mis en œuvre, les méthodes d’influence de l’opinion. C’est un long travail et j’espère qu’il portera ses fruits. Il en va de la liberté du peuple français.

Si cette conclusion vous porte à rire, alors profitez-en, car cela ne durera pas le jour où vous serez soumis au pouvoir de Nicolas Sarkozy...


[1] je rappellerai qu’il ne faut pas mélanger morale religieuse et morale liée à la conscience, à l’humanisme.

[2] M. Larrivé (chef de cabinet au ministère de l’Intérieur a affirmé que : « Le ministre cherche à être créatif pour faire évoluer le système et parvenir à une meilleure sélection des flux » ( !) Voir : Rencontre Réseau Education Sans Frontières et ministère de l’Intérieur
source : http://altermonde.levillage.org/article.php3?id_article=3224

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