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 Sépara-débilité - L’ultra libéralisme à portée de mots

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FleurOccitane
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MessageSujet: Sépara-débilité - L’ultra libéralisme à portée de mots   Sépara-débilité - L’ultra libéralisme à portée de mots EmptyLun 15 Mai à 8:54

Citation :

SEPARA - DEBILITE
L’ultra libéralisme à portée de mots

samedi 15 avril 2006.

Sépara-débilité - L’ultra libéralisme à portée de mots Arton43-120x88

« Séparabilité » : Néologisme de la présidente du Medef, qui propose d’engager une réflexion sur les « motifs de rupture » entre un patron et un salarié. « Pour favoriser l’embauche, il faut réduire les risques de contentieux, a-t-elle expliqué dans le Figaro. Réfléchissons [...] plus généralement à ce que j’appellerais la "séparabilité" de l’entreprise et de l’employé. »

Sépara-débilité - L’ultra libéralisme à portée de mots ParisotLorence_int-150x128

Laurence Parisot vient encore de se faire remarquer en inventant un nouveau concept, la séparabilité, comparant le licenciement au divorce par consentement mutuel.

Outre le fait que le consentement n’a de mutuel que le nom dans les divorces prononcés sur ce mode, et que concrètement le déséquilibre se fait souvent flagrant entre les anciens conjoints et leur envie de défaire le lien marital, source de souffrance et de tristesse, il est à se demander dans quel monde vit la patronne du MEDEF, qui ferait passer le maître métaphoireux Raffarin pour un apprenti en la matière. Mais j’ai la réponse.

Ce que je ne supporterais pas entendre lors d’une discussion amicale est asséné avec force et écho médiatique par LA conne... C’est dur mais se foutre à ce point de la gueule de millions de salariés ne mérite que ce qualificatif, et deux baffes aussi.

Petit portrait de la patronne des patrons :

Commençons par un florilège de ses déclarations les plus intéressantes, avant l’invention de la séparabilité :

· « La liberté de penser s’arrête là où commence le code du travail », à l’Assemblée générale du MEDEF en janvier 2005.

· « La vie, la santé, l’amour sont précaires, pourquoi le travail échapperait-il à cette loi ? », Le Figaro, 30 août 2005.

· « La précarité est une loi de la condition humaine. », France Inter, 3 septembre 2005.

· « Le mot précarité est un mot à la mode qui a pour objectif de nous empêcher de réfléchir. », France Inter, 3 septembre 2005.

· « Parce que se dire ou laisser croire à tout le monde aujourd’hui en France que nous pouvons entrer dans un métier, prendre un emploi et le garder quasiment à vie, c’est de l’utopie. Ou alors c’est de la fonctionnarisation, c’est proche de l’utopie communiste et on a vu comment elle s’est terminée. », France Inter, 3 septembre 2005.

· « L’état de jeune, c’est un passage, une maladie dont on guérit », La Tribune, 16 janvier 2006.


Sépara-débilité - L’ultra libéralisme à portée de mots Raffarinade2-100x150

Elle est comme ça Laurence. La précarité dans le travail c’est sympa. Mais concèdons que c’est encore mieux quand tu hérites de l’entreprise de papa. Dans la dernière évaluation des fortunes françaises, Laurence Parisot maintient avec sa famille sa fortune de 100 millions d’euros.

L’économie selon Parisot, c’est simple comme le loto : pour qu’il y ait une poignée de gros gagnants comme elle, il faut une multitude de petits perdants comme vous, pauvres nazes d’employés minables.

Laurence Parisot, 45 ans, dirige l’Ifop (institut de sondages, 35 millions d’euros de chiffre d’affaires, 250 salariés) et Optimum, une petite entreprise familiale de portes coulissantes. Elle a hérité, avec d’autres membres de sa famille, de cette société installée dans la région d’Agen à la mort de son père, en 2002. Elle en était PDG depuis cette date.

La présidente du Medef vient de la céder début mars 2006 au fonds d’investissement luxembourgeois GMS, pour un montant non communiqué... Non c’est sur, Laurence, la vie, la vrai, elle connaît. Elle peut en parler. Chaque jour, elle risque tout et elle aime ça. Mais la boite à papa, ça le faisait plus trop. Malgré une augmentation du CA assez importante l’année dernière, le déficit s’est creusé grave. Après Sellière et son empire familiale sidérurgique en déconfiture racheté par l’état français ainsi que les déboires d’AOM-Air Liberté, on dirai bien que la présidence du Medef, c’est un peu la place du maillon faible des entrepreneurs français. Le prochain ce sera peut être Jean-Marie Messier...

[...]




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FleurOccitane
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MessageSujet: Re: Sépara-débilité - L’ultra libéralisme à portée de mots   Sépara-débilité - L’ultra libéralisme à portée de mots EmptyLun 15 Mai à 8:57

(suite)

Citation :

Sépara-débilité - L’ultra libéralisme à portée de mots David_BRENT-115x150

A l’Ifop, Laurence Parisot a un laboratoire social des plus atypiques. 90 % du personnel y travaille sous statut CDD révocable à volonté mais aussi reconductible indéfiniment, comme le prévoit effectivement le statut des sondeurs de terrains, dérogatoire au code français du travail.

L’Ifop, qu’elle a racheté en 1990 avec l’aide de sa famille, est une petite structure, loin derrière les gros du marché que sont TNS-Sofres et Ipsos.

Elle qui rêve de « réconcilier les Français avec l’entreprise » devra commencer par la sienne :

Si, à l’Ifop, les salariés sont payés au-dessus du marché, c’est que la réputation de sa présidente fait fuir les talents. Elle pique des colères épouvantables, terrorise son entourage, mais ne contrôle pas grand-chose : elle demande la tête d’un collaborateur, l’oublie et se félicite ensuite d’avoir su repérer ce haut potentiel ! Elle joue la carte du management moderne, mais cesse de communiquer les chiffres aux cadres dès qu’ils deviennent mauvais. Ses lubies irritent, comme cette interdiction des Post-it à une époque où l’entreprise va mal : pour faire de légitimes économies ou parce que « ce n’est pas comme ça qu’on réfléchit » ? Lors des séminaires de cadres, c’est elle qui décide qui aura droit à une chambre particulière et qui devra la partager...

La vie de Laurence Parisot s’articule quasi exclusivement autour d’une seule valeur : le travail. Outre ses activités à l’Ifop, chez Optimum jusqu’il y a peu et au Medef, elle est également membre du Conseil économique et social, siège au Conseil consultatif d’Ernst & Young et au Conseil de surveillance d’Havas, Michelin et EuroDisney. Elle est également partie prenante du Siècle, un des principaux réseaux de pouvoir en France, où elle y côtoie notamment Claude Chirac.

Côté vie privée, hormis sa passion pour le ski nautique et la conduite sportive de la Maserati héritée de son père, cette célibataire endurcie voue une grande passion pour le jazz, le piano et une collection d’objets rares et anciens. Laurence Parisot joue aussi la carte féministe. Elle est ainsi une des chevilles ouvrières de l’organisation du premier « Davos au féminin », à Deauville.

Son énergie et son dynamisme impressionnent, tout comme sa capacité de travail et sa maîtrise du métier.

La politique la fascine et le Medef est pour elle un autre moyen de la pratiquer. « Je suis inquiète et un peu triste de l’état de la France. Nous sommes sur une pente dangereuse, glissante, et cela me touche tellement que j’ai envie de faire quelque chose. Et le Medef peut faire beaucoup. »

Au moment du décès de son père, Laurence Parisot confie à un cadre : « Il m’a appris tout ce que je sais du management : moins les salariés en savent, mieux c’est. » La présidente de l’Ifop applique ce principe à la lettre : pendant quatre années consécutives (de 2000 à 2003), elle n’a pas déposé ses comptes auprès du greffe du tribunal de commerce de Paris. Pour l’année 2004, elle ne l’a pas fait non plus, mais les entreprises disposent d’un délai maximal de sept mois à partir de la clôture de leur exercice pour se mettre en règle.

Dans le Canard enchaîné : (Jean-François Julliard, mercredi 6 juillet 2005)

« Un méchant procès au prud’hommes devait se tenir le 5 juillet - le matin même de l’élection à la présidence du MEDEF -, et il risquait fort de ternie l’image de la toute nouvelle patronne des patrons. L’une de ses ex-employées de maison, Corinne L., lui reprochait une « rupture abusive de contrat ». Mais - coup de théâtre -, au début de l’audience, la plaignante s’est très spontanément désistée de sa requête et des 20 000 euros de dommages et intérêts qu’elle réclamait. A la grande surprise de ses défendeurs (dont la CGT), qui n’en avait même pas été informés ! Et ses persifleurs d’interpréter son revirement de dernière minute comme la conséquence d’un chèque reçu en dédommagement. Même si la plainte se trouve annulée de facto, les pièces produites à cette occasion ne se sont pas volatilisées. Entre autres, les fiches de paie reçus par Corinne L. de mars 1998 à novembre 2000. Celles-ci attestent que Laurence Parisot a fait salarier cette employée de maison par une filiale de l’Ifop (qu’elle dirige depuis 1990), dénommée Phone City. Officiellement « assistante » dans cette boite de sondages par téléphone, Corinne L. ne mettait jamais les pieds au bureau.

Elle travaillait au domicile parisien de Laurence Parisot comme « gouvernante », maître d’hôtel et cuisinière. Moralité, sa patronne a fabriquée un faux contrat de travail, de fausse fiche de paie et rédigé une fausse lettre de licenciement. Et utilisé les fonds de l’Ifop à des fins personnelles. Le péché n’est certes pas mortel et les sommes en jeu guère astronomiques. Mais cette pratique a déjà valu à , nombre de chefs d’entreprise de se retrouver en justice pour abus de bien sociaux. Et ce n’était guère convenable vis-à-vis des actionnaires de l’époque (Accor et chargeurs). Enfin, voilà qui augure mal des méthodes et de la philosophie de la nouvelle patronne des patrons. Laquelle n’a pas souhaité répondre aux question du « Canard ». Au cours de sa campagne pour la succession d’Ernest -Antoine Seillière, la chef sondeuse s’est d’ailleurs illustrée par cette déclaration : »la liberté de penser s’arrête où commence le droit du travail. » Visiblement, sa propre liberté n’est pas toujours bridée. Preneurs de sondes très flexibles :

A l’Ifop, Les neufs dixième de ses salariés ont droit à un statut tout à fait spécial : sous contrat à durée déterminée, ils peuvent se voir révoquer à volonté mais aussi reconduire indéfiniment, comme le permet le statut des « sondeurs de terrain », dérogatoire au Code du travail. Et voilà encore un peu de « liberté » gagnée ! Doyen des instituts de sondages français (il fut fondé en 1938), l’Ifop a sa tradition syndicale, et quelques-uns de ses salariés bénéficient de contrat à durée indéterminée ou sont « chargés d’enquête à garantie annuelle ». Peu après son arrivée à la tête de l’entreprise, en 1990, Laurence Parisot a contourné cette difficulté grâce à deux astuces. Primo, en sous-traitant une partie de enquêtes à la société Catherine Delannoy et Associés, où la contestation sociale n’est pas de tradition. Secundo, en créant une filiale spécialisée dans les sondages par téléphone, Phone City, celle-là même qui employait fictivement sa gouvernante. Comme on l’imagine, les CDI n’y sont pas légion, et les syndicats figurent aux abonnés absents. En mai 2000, Laurence Parisot déclarait à « La Tribune » : « les femmes ont une vision plus optimiste de l’avenir, elles apportent de la flexibilité dans l’entreprise. » En tout cas, la démonstration en est faite à l’Ifop. A ce sens de la flexibilité, ma nouvelle présidente du MEDEF ajoute un goût indéniable pour la transparence. Certes, le chiffre d’affaires et les résultats de Phone City, qui assure le plus gros de l’activité de l’Ifop, sont introuvables. Au moins dans les banques de données consultées par « Le Canard », qui indiquent : « comptes annuels non publiés ». N’empêche qu’en mai dernier c’est très spontanément que Laurence Parisot a communiqué les résultats de l’Ifop. Une enquête de « L’Express » venait en effet de souligner que cet institut les dissimulait depuis plusieurs années. Malencontreuse erreur aussitôt rectifiée. A deux mois du scrutin du MEDEF, il n’était que temps. »

A 48h de la journée des femmes, début 2006, la présidente du MEDEF Laurence Parisot a choisi son camp, celui des marchands de pétrole contre celui de la libération des femmes du machisme religieux. Accompagnatrice de Chirac en Arabie Saoudite, Laurence Parisot et son avidité à signer des contrats, a constitué une basse caution du fascisme islamique en se présentant vêtue de la abaya, le traditionnel voile noir qui rassure les fous d’Allah engoncés dans leurs frustrations. Bien mal lui en pris : pas un contrat n’a été ramené par Chirac et sa clique de cravatés. Que le commerce français ait connu un échec est sans importance, il s’en consolera sur le dos des licenciés des CNE. Laurence Parisot traite les principes d’égalité femmes-hommes comme les produits commerciaux emportés dans sa valise : par la marchandisation.

La chef du patronat souhaite "ouvrir le MEDEF à la société tout entière". Aux associations, aux ONG et au "monde de l’éducation".

Pour Laurence Parisot, "L’école était chargée de former le citoyen, c’est à l’entreprise aujourd’hui de lui apprendre le nouveau monde." Traduction : les enfants sont de futurs travailleurs avant d’être des citoyens. Et l’école doit avant tout former de bon salariés acquis au libéralisme. Les patrons doivent devenir "ce que les instituteurs ont été à la IIIe République", déclarait-elle en 2004. Suggérons lui carrément de supprimer les instituteurs, ça fera des économies.

Laurence Parisot a plaidé pour le contrat nouvelle embauche (CNE) qui relève d’une logique "tout à fait différente" du CPE.

"Ce sont deux logiques tout à fait différentes car dans un cas, on stigmatisait une partie de la population, et dans un autre cas on permet au secteur qui est peut-être le plus dynamique de notre pays c’est-à-dire les TPE (très petites entreprises)" de prendre le risque de recruter, a souligné sur RTL la présidente du Mouvement des Entreprises de France (MEDEF). Alors que les syndicats réclament la suppression de ce contrat, Laurence Parisot a expliqué que "ces TPE ont besoin pour croître de plus de souplesse que n’importe quelle autre entreprise".

"Soyons réalistes, pragmatiques".

"Il y a déjà près de 400.000 emplois qui ont créés grâce à ce contrat" (chiffres fantaisistes), a rappelé Parisot, qui va "proposer aux syndicats de réfléchir d’une manière différente" sur les conditions de travail. "Nous devons faire un constat, un diagnostic de manière sérieuse" des "dysfonctionnements du marché du travail", a t-elle estimé. "Regardons ensemble la carte géographique de toutes les flexibilité qui seraient nécessaires pour la croissance de notre pays, toutes les précarités en distinguant les bonnes précarités des mauvaises précarités".

Sépara-débilité - L’ultra libéralisme à portée de mots P.Marlin-contorsionniste-89-104x150
Bacon contorsionniste

La présidente du Medef estime que les syndicats ont tort de considérer comme une victoire le retrait du CPE au terme d’une crise qui a "ébranlé" la confiance des partenaires économiques de la France. "Ils ont bien tort de regarder ça comme une victoire. Avec des victoires comme cela on sera tous perdants".

La dirigeante du patronat, qui s’exprimait lors de sa conférence de presse mensuelle, a redit que l’affaire du contrat première embauche aura au moins eu le mérite de mettre le débat sur la "flexibilité" dans le travail sur la place publique. "Au moins, nous pouvons dire que le dysfonctionnement du marché du travail est lié à son manque de souplesse," a-t-elle dit. "Il y a un lien entre la difficulté de licencier dans certains cas et le fait que nous avons un chômage élevé".

Elle a rendu hommage au Premier ministre, Dominique de Villepin, "parce qu’il a été le premier à faire le lien" entre la rigidité du marché du travail et le chômage. L’affaire du CPE, a-t-elle souligné en utilisant un néologisme dont elle est friande, aura permis un "détabouage" et rendu possible d’aborder certains sujets difficiles.

Laurence Parisot a estimé que la crise du CPE ne semblait pas avoir eu d’impact sur les indicateurs macroéconomiques mais avait nui à l’image de la France auprès des investisseurs. De tels événements, cela "ébranle la confiance" et "ébranle la perception que les partenaires économiques" ont de la stabilité du pays.

Alors, avis à tous les entarteurs de France, Tartuffe porte des jupons et se trouve au MEDEF. Je peux aussi donner l’adresse d’un bon pâtissier... Thucydide

http://www.abbaye-de-theleme.levillage.org/spip/article.php3?id_article=43
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salucemoi
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MessageSujet: Re: Sépara-débilité - L’ultra libéralisme à portée de mots   Sépara-débilité - L’ultra libéralisme à portée de mots EmptyLun 15 Mai à 17:35

Ben ce n'est qu'une femme et on sait que les femmes, en général, n'aiment aucun art, ne se connaissent à aucun, et n'ont aucun Génie. Elles peuvent réussir aux petits ouvrages qui ne demandent que de la légèreté d'esprit, du gout, de la grace, quelquefois même de la philosophie et du raisonnement.
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FleurOccitane
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MessageSujet: Re: Sépara-débilité - L’ultra libéralisme à portée de mots   Sépara-débilité - L’ultra libéralisme à portée de mots EmptyLun 15 Mai à 19:29

J'espère que c'était une pointe d'humour ...
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MessageSujet: Re: Sépara-débilité - L’ultra libéralisme à portée de mots   Sépara-débilité - L’ultra libéralisme à portée de mots Empty

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