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 Article au sujet de l’ambiguïté du terme Internationale

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FleurOccitane
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MessageSujet: Article au sujet de l’ambiguïté du terme Internationale   Article au sujet de l’ambiguïté du terme Internationale EmptySam 18 Fév à 21:44

Citation :

Article au sujet de l’ambiguïté du terme "Internationale"

François Hollande et l’Internationale...

de Laurent Gantner

Coup de théâtre dans une gauche remuante à une semaine de la réunion au sommet prévue à la Mutualité lorsqu’on prend note de l’écart creusé au fil des années entre le politique et la résultante des négociations de ce même politique une fois appliquée sur le terrain... Du moins c’est ce qui ressort des déclarations d’un François Hollande décidemment très en verve puisqu’il appelle à la rescousse un appui dénigré pendant vingt ans et qu’il n’a pas peur de relancer à l’ordre du jour en plaçant au centre de la réflexion le développement, qu’il estime au demeurant n’avoir pas toujours été à la hauteur spécifiquement sur les questions ayant attrait aux Droits de l’homme, par rapport à la lutte contre la mondialisation, sur la paix ainsi qu’au sujet du "filtrage" des adhérents à l’ Internationale socialiste - n’a-t-il pas en effet jugé le participant Gbagbo infréquentable ?

Alors à propos de cette Internationale socialiste, je ne vois pas pourquoi le PS qui est membre de l’Internationale mais ne fait pas partie de la Gauche européenne - certainement plus antilibérale elle que la simple gauche française - s’estime en droit de faire glisser le moteur européen, base de l’Internationale socialiste située autour de la Gauche Européenne, vers son parti socialiste français si ce n’est autrement que pour en faire, au pire un trust électoral, au mieux un point de ralliement pour fixer des objectifs en accord avec cette Internationale ? En définissant ses membres participants, François Hollande rappelle également les formations politiques fondatrices qui ont développées cette Internationale socialiste qui n’a pas toujours été signée par ce Parti socialiste, l’estimant certainement comme un charte qui lui était sienne, mais pas comme une dynamique de développement au sein de laquelle les formations politiques minoritaires appartenant à la gauche ne seraient pas jetées dehors.

Sous cet angle, la présence de la LCR ne doit plus seulement être hypothétique mais se doit de concrétiser par sa présence la défense de cette Internationale aux côtés du Parti Communiste car la LCR est un pôle permanent qui fait vivre l’Internationale depuis sa naissance. Il ne faut pas abandonner aux mains des socialistes la possibilité de se faire les portes paroles uniques de l’Internationale car partie prenante, en s’éloignant des textes, on en oublie ceux qui les font vivre quant au sujet des moyens alloués pour la développer, ce n’est certainement pas Chirac et encore moins son gouvernement qui feront un chèque au Parti Communiste ou à la Ligue Communiste Révolutionnaire pour favoriser leurs actions à la portée militante incontestable ! Main tendue ou arrachement à l’Histoire, à l’heure actuelle personne ne peut définir ce que sera et de quoi sera faite l’ Internationale socialiste dont parle François Hollande si au sortir du congrès du 8 février ne sont pas clairement définis et reconnus sincèrement les fonctions et l’importance dans la Gauche européenne des formations politiques éloignées peut-être de plus en plus du Parti Socialiste Français mais certainement pas de l’Internationale et encore moins de ses revendications et des buts politiques qu’elle s’est toujours fixée. Donner sa place à chacun c’est déjà redéfinir une autre répartition des pouvoirs et cette décision ne pourra que faire avancer la dynamique d’une gauche qui en a plus que jamais besoin.

Pour que le PS ne se superpose pas sur l’Internationale, pour qu’il n’en devienne pas le principal porte drapeau, il me semble indispensable que le discours de la LCR associé à celui du Parti Communiste orchestre les débats entre ce qui est maintenant convenu de reconnaître sous l’appellation des « différentes formations politiques de la gauche ». Chacun aurait tord de rejeter ce formidable pas en avant d’un François Hollande entreprenant à l’annonce du 51ème congrès de l’ IS car il faut se mouiller pour parler d’Internationale socialiste qui, faut-il le rappeler, s’appuie bien plus sur des thèses communistes que sur le socialisme avancé ou en avance sur le retard qu’il lui reste à rattraper en matière d’Internationale certainement car cette réunion prévue entre les différentes formations de la gauche annonce la préparation d’âpres débats dans une lutte acharnée pour barrer la route à la droite et tendre vers cet infini espoir derrière lequel se cachent les tendres appellations 100% à gauche, fiers d’être communiste, Verts & Rouges... quitte à tous nous retrancher derrière une union plus à gauche en cas d’ultime recours et de rester derrière nos candidats respectifs pour trouver une alliance politiquement bien plus probante que celle que nous propose le PSF.

Depuis Lénine - lui au moins on peut le considérer comme un vrai camarade - il fut rare de voire associés aux côtés de ce terme Internationale les particules communiste et socialiste, le reste de la gauche préférant faire sienne cette spécificité internationale et se la tiraillant au cours de l’histoire alors que par définition et pour cause d’internationalisme, cette étendue politique ne peut plus fonctionner si les communistes en sont éloignés, absorbés par le socialisme qui ressort bidon politiquement par rapport aux solutions à envisager pour poursuivre les luttes ci mêmes mentionnées dans l’Internationale Communiste et socialiste.

Profitant ensuite de l’exil des communistes des pays de l’Est l’Internationale s’est alors progressivement et subtilement muée en socialisme tout court au sortir de la guerre froide, date à laquelle ils purent enfin s’y inscrire, drôle de mesure en matière d’accueil pour des dissidents qui fuyaient le stalinisme et qui par leur présence aux tribunes de l’Internationale auraient certainement ravis la majorité sur le socialisme en renforçant en même temps un communisme occidental qui rivalisait en cote part électorale avec son dauphin socialiste. Georges Marchais aurait certainement pris le trône à Mitterrand si les communistes en exil des pays de l’Est qui fuyaient le mur avaient été acceptés plus tôt parmi les rangs de la dite Internationale car c’est là que ne pouvait qu’être leur place suite à leur engagement dans le parti des réfugiés politiques, mais non, il fallait d’abord qu’ils appartiennent au socialisme local, une sorte de stade d’adaptation, une funeste décantation politique et idéologique en supplément apparaissant aujourd’hui peut-être comme étant plus proche d’une visée sursitaire que de programmes politiques arriérés.

Depuis, « marais centriste » et « isolement nationaliste » marquent très fortement la pensée internationaliste de la gauche. De Congrès autonomistes présidés par quelques libéraux socialistes au questionnement à sa base sur la nécessité d’enclencher ou non le passage à une Vème Internationale, cette notion d’internationalisme socialiste servirait presque de vase communiquant entre plusieurs formations appartenant à une gauche élargie selon qu’on se trouve d’un côté ou de l’autre de cette désormais ligne de rupture qui sépare la gauche du libéralisme si les thèses formulées parvenaient à trouver un champ d’application capable de dépasser les simples arrangements tout simplement économiques ou plus spécifiquement à caractère électoral. A gauche il était convenu de parler de libéralisme moral et non pas de ce libéralisme économique auquel tout le monde a rapidement pris goût, ne contrôlant plus l’ensemble de la société et ne courant plus que pour cette spécificité européenne devenue clé de voûte du pouvoir à l’irrespect le plus total des électeurs qui estimaient de leur droit de voire en l’idée européenne une structure officielle capable de restreindre la puissance de la droite.

Au contraire, elle lui a servi de tremplin pour développer son impérialisme économique cette Europe sans que personne ne puisse contrer quoi que ce soit au fur et à mesure de l’avancée cumulative des différents traités.

Entendue cette dichotomie historique au sujet du fonctionnement de l’Internationale socialiste et communiste, sans quoi elle n’aurait plus aucune raison d’être, il est entendu que le Parti Communiste aura rendez-vous avec un choix fondamental autour de la table des socialistes étant donné qu’il lui sera donné la possibilité de rejeter l’ordre de marche imposé par les socialistes pour se retourner vers une gauche avec laquelle il aurait plus d’affinités conceptuelles pour réellement changer le plafonnement libéral et trancher dans le vif les diatribes autour de programmes pouvant être estimés trop légers et tout juste bons à modifier les têtes du pouvoir en fonctions officielles mais pas suffisants pour sérieusement améliorer les problèmes qui eux hélas sont également devenus internationaux.

Néanmoins il faut reconnaître que François Hollande cite là un point fondamental constitutif d’un possible pôle rassembleur autour d’une gauche à qui il n’est que demandé de porter les mêmes idées que lui présentent les formations qui lui sont le plus éloignées ; c’est certainement là aussi l’un des paradoxes les plus ahurissant du compromis politique à trouver pour que toutes les gauches aux différentes sensibilités puissent fonctionner ensembles. Mais ne nous y trompons pas la solution n’est certainement pas dans l’échéance électorale de 2007, ce serait un peu tard non lorsqu’on songe que l’union de la gauche de Mitterrand s’est échelonnée sur une tranche historique communément reconnue comme étant comprise dans la fourchette « 1965 - 1995 » et que le chemin fut long à se dessiner pour disparaître presque aussitôt par mégarde de la poursuite engagée auparavant pour y parvenir autour du programme commun.

C’est peut-être aussi maintenant seulement que le Parti Socialiste paye fortement ses manquements aux engagements évoqués sur une base commune mais qui dans la réalité ne sont restés que lettre morte aux historiens, ça on s’en voûterait presque, pas pour les travailleurs et les luttes ouvrières qui n’ont eu pour droit que d’en souffrir jusqu’à cette récente conquête, encore toute chaude, politiquement réelle sur l’arrêt référendaire du traité constitutionnel qui d’un « non » ahurissant et presque insultant est rapidement devenu international et sans rappel pour se traduire au plus vite dans les urnes. Comme ironie du sort on ne pouvait faire mieux et ce n’est pas dans un simple claquement de doigts que provoque l’imminence du combat présidentiel que les orientations idéologiques à gauche mettront la barre à gauche alors que c’est en la mettant sérieusement à gauche la barre qu’une France électorale unifiée donnera une réponse suffisamment efficace pour enrayer la mesure du coup porté par son échec de 2002.

Seulement selon la conception dirigeante socialiste française, les visées de l’Internationale socialiste exigeraient que les travaux et les efforts des minorités militantes de gauche soient livrés rubis sur l’ongle selon des motifs tournant autour de questions de majorités démocratiques, de direction pour gouverner mais ces prétextes n’ont jamais stipulé qu’il fallait s’approprier les différences pour renforcer un Parti Socialiste qui n’était pas loin de frôler la dérive s’il n’avait sauver son avenir politique par des élections européennes remportées haut la main sous l’impulsion de l’idée d’une gauche collective au point d’en donner le tournis médiatique qui lui était dû à en croire l’utilisation dithyrambique d’un « raz de marée socialiste ».

Il ne peut qu’être porteur et rassembleur cette étrange autodafé à propos d’une Internationale socialiste lancé par François Hollande sans jamais faire un seul instant référence à la « Gauche européenne » active autour d’un « NON » international auquel se rattachent des allemands revenus à gauche après leur scission avec le SPD ainsi que les « socialistes » écossais aussi plus proche de l’alternative à gauche contenue dans le refus constitutionnel qui risquait bien plus de figer le fonctionnement de l’Europe dans de vulgaires transactions financières au lieu de la conduire vers de plus sains équilibres moins rentables mais certainement plus décents pour l’ensemble des populations car un continent comme celui formé par une Europe en « expansion » ne saurait faire primer le cercle privilégié de l’affairisme bancaire et des décisions armées liées au commerce maintenant bien établi du nucléaire et de l’expérience atomique en plein essor sur l’humaine condition de civilisations pas toujours au diapason culturel les une vis-à-vis des autres, souvent décalées par des rapports économiques inégaux que lui impose le système capitaliste ; déroutées le plus souvent par cette unique solution que lui impose un capitalisme mondial certainement pas au service du plus grand nombre.

Cette « Gauche européenne » n’en est pas moins pour autant plus proche d’une charte internationale faisant référence à cette Internationale socialiste « historique » à laquelle fait référence Mr. Hollande. Mais les socialistes nous prendrons tout, nos petits partis, jusqu’à l’Internationale. Il ne manquait plus que cela et après ça, ils pourront se prendre et se mettre à la place d’une Gauche européenne pourquoi pas estimée limitée si elle n’est pas déjà considérée par la plupart des socialistes comme limitée à une simple sous estimation motivée par la nécessité d’une primauté socialiste issue dont on ne sait quelle hiérarchie de domination certainement pas historique, probablement en usurpant certains programmes communs, égarée et happée par un libéralisme qui aurait dû se contenter du champ moral puisque celui de l’économique l’était déjà suffisamment « libéralisé » (mais de quoi) depuis les théories coloniales. Comme ils se sont mis à la place de la gauche rouge de Marchais dès 1981, le PS désirerait-il prendre pour lui le monopole référé de l’Internationale ? !

[...]

http://bellaciao.org/fr/article.php3?id_article=22779
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FleurOccitane
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MessageSujet: Re: Article au sujet de l’ambiguïté du terme Internationale   Article au sujet de l’ambiguïté du terme Internationale EmptySam 18 Fév à 21:45

(suite)

Citation :

Ironie du sort, seconde étape qui elle pourrait se réaliser par l’inégale pression des truchements de majorités représentatives électoralement qui feraient forcément que les programmes admis du plus grand nombre ne sont pas forcément les meilleurs ! Cependant l’attrait pour un tel débat sur la conception « internationaliste » du socialisme par rapport aux communistes ne devrait pas faire bouder la LRC d’honorer de sa présence cette table ronde organisée par le PS tant l’enjeu historique semble important puisque Mr Hollande en oublie déjà la Gauche Européenne, partie intégrante de cette Internationale, dès qu’il n’y voit qu’une ronronnante organisation spécifiquement socialiste. Il y a quelque chose d’inquiétant lorsqu’on défie le pari de l’union de la gauche, commençons par parler de cette Gauche européenne qui obtiendrait presque plus d’unanimité dans les couloirs du Parlement que n’y parviennent ces Partis Socialistes Européens qui n’ont plus grand-chose à voir avec une Gauche européenne.

Dans ce contexte la porte ouverte par les socialistes reste la possibilité ultime pour définir une Gauche européenne pouvant faire face aux excès du libéralisme vivement montré du doigt par les mouvements sociaux, les syndicats ; normal puisque tout est à la convenance patronale presque cautionnée par les partis socialistes européens eux-mêmes... mais ce choix les regarde. Il ne faut pas que la gauche hors PS aille aux discussions secrètes avec les socialistes en partant d’avance battue parce que la présence d’une des sections représentative ne serait pas acceptée. La majorité unanime s’impose ici par la présence et la présence seulement de tous, auxquels faudrait-il rajouter la présence d’une gauche solide qu’incarne Mme Laguiller mais là les oreilles des socialistes battraient la chamade et la mutualité deviendrait subitement trop petite pour accueillir tout le monde.

Mr Hollande voit effectivement juste lorsqu’il convie à relancer le débat sur l’International, sujet fondamental pour la gauche dont l’importance historique devenue prépondérante devrait à elle seule rassembler tout le monde, les absents ne marqueront leur désapprobation que pour dénoncer un manque d’ouverture effectif de programmes socialistes trop figés, intangibles et conservateurs... Sur ce point la formation écologiste se positionne en arbitre puisqu’elle insiste également sur la présence de tous sans quoi elle menace d’être aussi absente de cette première tentative d’unification tentée par les socialistes. Preuve en est faite que désormais une formation constitutive de la gauche ne peut plus s’affranchir d’une autre et que les hautaines positions de domination d’un parti sur un autre se risquent à la difficile expérience de la fragilisation de sa validité sur un ensemble électoral qui lui aussi fait le point, parfois dans son coin, parfois rattaché à d’autres conceptions que l’unique socialisme d’une internationale ne suffirait pas à lui seul à faire vivre.

C’est un peu frustrant quand même de leur part et non moins curieux de les entendre accepter un boycott coordonné à l’égard de LO - LCR puisque les Verts parlent de quatre formations « unitaires » PS, MRG, PCF et MRG, organisateurs de la tablée, effectuant par là même une cinglante coupe au travers d’une possibilité d’Internationale réduite du coup à la simple réduction d’une partie de la gauche seulement, représentative, blablabla... Si cette gauche refuse une partie du projet révolutionnaire comment ose-t-elle se prétendre de gauche et rassembleuse puisqu’elle cherche à en écarter l’un de ses principal acteur porteur d’une dynamique des plus à gauche qui puisse être ; la LCR / LO étant loin de paraître entêtés aux vues de leur conformité avec les perspectives « internationales ».

Quatre formations unitaires et beaucoup d’absents, faut-il maintenant montrer « patte blanche » pour prétendre appartenir au peuple de gauche quand les représentants de la gauche n’appliquent que des programmes flétris qui n’ont de la gauche plus que l’étiquette, la teneur étant compromise par les obstacles et les embûches que la droite pose dans le paysage politique français.

Mais la droite n’est pas seule responsable des obstacles que la gauche voit se dresser devant elle, il faut remonter jusqu’à l’introduction en France de la pensée marxiste pour y déceler, très tôt donc, somme d’incompréhensions et d’interprétations contradictoires et toute la pensée marxiste ne fut pas livrée à la classe intellectuelle dès son édition, le temps a pris soigneusement en main la charge d’établir un décalage, certainement pour des raisons de traduction, entre les parutions allemandes et françaises tandis que le politique ne semblait pas pressé d’y prêter la moindre oreille ce qui fit que pendant longtemps le marxisme en France est resté pendant longtemps un ragot de café... Aujourd’hui, il semblerait que dans la confusion qui se dégage de la séparation de l’idée d’Internationale socialiste se plairait à ramener « l’Internationale communiste et socialiste » au même point de construction de base ce qui est loin d’être le cas.

Amalgame ou rejet, toujours est-il qu’une nouvelle fois les théories marxistes s’utilisent dans la confusion et ne se destine qu’à servir de joujou électoral mais pas de mesures concrètes nécessaires et suffisantes pour dépasser les oppressions de la société capitaliste et de contempler non sans un certain ahurissement de quelle manière le Parti socialiste français ne fonctionne pas autrement qu’un vulgaire parti de droite dès lors qu’un de ses ténors excluaient stricto sensu la présence de la LCR d’Alain Krivine alors que la puissance de réflexion, notamment sur les questions internationales, apporterait un peu de vie à ce parti socialiste. Il en aurait grand besoin...

De : ichlo
mercredi 1er février 2006

http://bellaciao.org/fr/article.php3?id_article=22779
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