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 Violences : le gouvernement proroge de trois mois l’état d’u

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FleurOccitane
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Violences : le gouvernement proroge de trois mois l’état d’u Empty
MessageSujet: Violences : le gouvernement proroge de trois mois l’état d’u   Violences : le gouvernement proroge de trois mois l’état d’u EmptyMar 29 Nov à 19:06

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Violences : le gouvernement proroge de trois mois l’état d’urgence

Violences : le gouvernement proroge de trois mois l’état d’u Singes3

Le gouvernement a approuvé lundi un projet de loi prorogeant de trois mois l’état d’urgence, une mesure présentée par le président Jacques Chirac comme "strictement temporaire" et qui sera examinée mardi par l’Assemblée nationale.

Cette mesure, qui intervient alors que diminuent les violences dans les banlieues, est le signe que "la détermination du gouvernement est totale" pour rétablir l’ordre public, selon le porte-parole du gouvernement Jean-François Copé.

La nuit de dimanche à lundi, la 18ème depuis le déclenchement des violences urbaines le 27 octobre, a confirmé l’accalmie observée les deux jours précédents dans les banlieues, et Jean-François Copé a évoqué lundi "un certain apaisement même si la situation reste préoccupante".

Le projet de loi, présenté par le ministre de l’Intérieur Nicolas Sarkozy lors d’un Conseil des ministres avancé exceptionnellement de deux jours, prévoit que l’état d’urgence sera prorogé "pour une durée de trois mois à compter du 21 novembre", selon le compte-rendu du Conseil des ministres.

Le décret pris le 8 novembre dernier pour instaurer l’état d’urgence et le couvre-feu expire en effet le 20 novembre.

"La gravité et l’extension à de nombreux centres urbains de ces violences, dirigées sans distinction contre les personnes et les biens, justifiaient cette mesure", a jugé le gouvernement.

Devant les ministres, Jacques Chirac a précisé qu’il s’agissait là d’"une mesure de protection et de précaution", nécessaire "pour donner aux forces de l’ordre tous les moyens dont elles ont besoin pour ramener définitivement le calme".

"Bien entendu c’est une mesure strictement temporaire et qui ne s’appliquera que là où elle est strictement nécessaire et en plein accord avec les élus", a souligné le chef de l’Etat, qui devait s’exprimer devant la Nation lundi soir, lors de sa première intervention solennelle radio-télévisée depuis le début des émeutes.

Le projet de loi prévoit que le gouvernement peut, par simple décret, mettre un terme à l’état d’urgence, avant l’expiration du délai des trois mois.

L’Assemblée nationale doit examiner ce projet mardi à 16H30, le débat devant être ouvert par une intervention du gouvernement. Chaque groupe disposera de 40 minutes pour s’exprimer.

L’UMP s’est félicitée du "message de fermeté du gouvernement", soulignant que "l’action déterminée du gouvernement permet aux zones de non droit de reculer". Le président du groupe UMP à l’Assemblée nationale, Bernard Accoyer, a jugé cette mesure "réaliste et adaptée aux circonstances exceptionnelles" que connaît la France.

En revanche, le Parti socialiste a émis les plus grandes réserves, son porte-parole Julien Dray indiquant ne pas voir "à ce stade pourquoi prolonger" l’état d’urgence. "La loi d’exception n’est pas l’instrument majeur du retour au calme", a-t-il fait valoir.

Les trois députés Verts voteront mardi contre la prolongation de l’état d’urgence, une mesure critiquée également par le Parti communiste pour qui "le coeur de la solution serait de décréter l’urgence sociale".

Pour Jean-François Copé, le "climat plus apaisé" sur le terrain n’exclut pas qu’"il reste du travail à faire". "C’est ce qui explique que sur tous ces sujets, la détermination du gouvernement est totale et qu’il a donc été décidé de proroger les mesures déjà prises", a expliqué à la presse le porte-parole du gouvernement. PARIS (AFP) -

De : Isabelle
lundi 14 novembre 2005

http://bellaciao.org/fr/article.php3?id_article=20627
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