Rencontre internationale anticapitaliste en Bolivie

Citation :: Rencontre internationale anticapitaliste en Bolivie

Près de deux cents délégations de 17 pays dont le Brésil, le Pérou, le Paraguay, l'Argentine, le Chili, le Mexique, la Colombie, Equateur, le Venezuela, les Etats-Unis, l'Espagne, l'Italie, la France, le Royaume Uni, la turquie, et la Bolivie se sont rencontrés en Bolivie dans quatre comissions qui traitèrent de thèmes communs à ces pays : la nationalisation des hydrocarbures, la renationalisation des des entreprises privatisés, des terres et territoires, and de la participation politique à l'organisation sociale.

source : http://www.indymedia.org/fr/2005/08/118808.shtml

Près de deux cents déléguations de 17 pays dont le Brésil, le Pérou, le Paraguay, l'Argentine, le Chili, le Mexique, la Colombie, Equateur, le Venezuela, les Etats-Unis, l'Espagne, l'Italie, la France, le Royaume Uni, la turquie, et la Bolivie se sont rencontrés en Bolivie dans quatre comissions qui traitèrent de thèmes communs à ces pays : la nationalisation des hydrocarbures, la renationalisation des des entreprises privatisés, des terres et territoires, and de la participation politique à l'organisation sociale. La rencontre dura trois jours, du 12 au 14 août, and fut inaugurée par une une grande marche qui commença au quartier général de l'UPEA, où la cérémonie d'ouverture fut entamnée par de nombreux speechs et chansons d'unité. Pendant la dernière séssion, ils firent le bilan de la rencontre, qui d'après des les rapporteurs, servit à renforcer les liens entre les combats des travailleurs Bolviens pour la nationalisation des hydrocarbures - sans compensation - et la défense de la souvereinté nationale. Parmis les syndicats présents on peut citer parmis d'autres la "COR The High"," Departmental Working Head Office of The Peace", la confédération des mineurs de Bolivies, et les syndicat des travailleurs,

Mis à part une déclaration frontale de lutte contre les politique de Washington, ils se mirent d'accord de faire une prochaine journée internatinale le 17 octobre. .

Cette date fut choisi symboliquement, c'est en effet la jour de la chute de Goni et à la foi la date de la première nationalisation en Bolivie, en 1969, lorsque le gouvernement de Alfredo Ovando décréta la fin des concessions de la American business Gulf Company et nationalisa tous ses biens. Témoignages de l'extérieur.

Pendant les commissions, les membres syndicales de la France et de l'Espagne témoignèrent que les multinationales qui sont originaires de leurs pays et qui opèrent en Amérique du Sud -à l'instar de Repsol en Bolivie - exploitent également des travailleurs français et espagnols. Parallèlement, les membres syndicales des firmes brézilienne Petrobras, qui bénéficient des profits du commerce de pétrole et de gaz de Bolivie, ont crée une résolution pour leur congrès dans laquelle ils supportent sans condition toutes les villes de Bolivie dans leur processus de nationalisation.** Le document politique des conclusion de cette rencontre peut être obtenu à la confédération des travailleurs de mines de Bolivie après le 15 août. document original :

http://www.indymedia.org/en/2005/08/118761.shtml

** : je ne suis pas certain de la traduction, le texte original ne précise pas si la mention a été adotée.

http://ecoplanet.free.fr/wordpress/

http://paris.indymedia.org/article.php3?id_article=40877

» La Bolivie sous la pression internationale