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 Don Sarko et l’internationale sioniste

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wapasha
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wapasha


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MessageSujet: Don Sarko et l’internationale sioniste   Don Sarko et l’internationale sioniste EmptyVen 15 Juil à 12:47

altermonde.levillage-REÇU DE GÉLINOTTE-vendredi 15 juillet 2005
Don Sarko et l’internationale sioniste

Un autre aspect du personnage qui m’avait quelque peu échappé jusqu’ici... On ne peut pas tout voir d’un coup... Cet aspect-là, l’alliance avec des groupes sionistes, confirme en revanche sa soumission au pire des Etats-Unis et ne fait que renforcer la nécessité de résister, tout au moins si l’on ne veut pas être complice de l’écrasement de tout un peuple, en l’occurrence le peuple palestinien.

Jean Dornac


Citation :
Chacun sait que Nicolas Sarkozy veut prendre le pouvoir et devenir président de la République française. Mais avant de le laisser s’installer à l’Elysée, mes compatriotes devraient s’interroger sur les alliances politiques de ce carnivore populiste qui ose déclarer au public américain qu’il se sent "étranger dans son propre pays"...

François Costes
20 février2005
Source : http://lesogres.org/article.php3?id_article=126


En août 2004, un hebdomadaire juif américain publiait un étonnant article sur l’influence croissante du lobby JAZ (Jewish-American-Zionist) sur le territoire français. Parmi les noms de personnalités soutenues par ce lobby ou par ses partenaires dans l’Hexagone figurait celui de Nicolas Sarkozy [1].

Don Sarko au pays d’Arnold

Au mois d’avril 2004, Sarkozy s’était déjà distingué en se rendant à Washington à un déjeuner de l’AJC donné en son honneur :
A Washington, vendredi 23 avril, Nicolas Sarkozy était le gouvernement français à lui seul. Toujours ministre de l’intérieur - et des cultes - devant l’American Jewish Committee, principale organisation juive américaine, qui a offert un déjeuner en son honneur. [...] Au déjeuner de l’American Jewish Committee (AJC), M. Sarkozy a prononcé hardiment un discours en anglais, dans lequel il a révélé que "les journalistes" l’avaient appelé "Sarkozy l’Américain". "J’en suis fier, a-t-il dit. Je n’ai pas peur de dire que je partage beaucoup de valeurs américaines." Il cite un nom, au hasard : Arnold Schwarzenegger. [2] "Comme Sarkozy, c’est difficile à prononcer. Mais cela n’a pas empêché les Californiens de l’élire gouverneur", admire-t-il. [...] Le contact entre M. Sarkozy et l’AJC s’est établi en octobre 2003, quand il a reçu une délégation de cette organisation américaine, venue lui demander ce que le gouvernement français faisait contre l’antisémitisme. [3]

Un commentaire du CAPJPO nous éclaire mieux sur ce qui se mijote entre le Don et ses copains d’Amérique :
Avec Nicolas Sarkozy, on change de registre. On est en effet en présence d’un homme qui déclare désormais publiquement servir, en conscience, les intérêts de l’American Jewish Commitee (AJC). Car, qui a "fait croire aux Etats-Unis d’Amérique que la France était un pays antisémite" ? Qui, sinon l’AJC elle-même, un lobby qui n’est ni juif, ni américain, en ce qu’il ne sert ni les intérêts des Juifs en général, ni ceux des Américains, ni ceux des Américains juifs, mais uniquement la politique de l’axe gouvernemental américano-israélien, incarnée aujourd’hui par le couple Bush/Sharon, et dont le peuple palestinien est la principale victime. L’AJC, et une série d’autres officines sharoniennes, ont entrepris depuis plusieurs années de répandre du venin sur "la France", dont ils accusent en bloc les dirigeants et la population d’être antisémites. [...] L’AJC ne connaît rien à l’anti-sémitisme, réel ou potentiel, prévalant en France, au point que les dirigeants du lobby sharonien français, le CRIF notamment, ont bien été obligés de reconnaître que leurs amis d’outre-Atlantique "manquaient peut-être un peu du sens des nuances". Sans vergogne, parce qu’impunie à ce jour, l’AJC ne cesse cependant d’étendre son champ d’intervention,en étant le principal organisateur d’une conférence qui se tient actuellement à Berlin, sur le thème de "L’antisémitisme en Europe". [4]

Quelques mois plus tard, en octobre 2004, le Don entreprenait un nouveau voyage aux Etats-Unis et y confortait ses alliances :
Venu aux Etats-Unis pour la réunion d’automne du G7, Nicolas Sarkozy a effectué ce qui ressemblait à une tournée d’adieux. Même le président de la Réserve fédérale, Alan Greenspan, lui a dit qu’il serait regretté, assure l’entourage du ministre. Après avoir été invité à déjeuner, samedi 2 octobre à Washington, par le Hudson Institute, un "think tank" de la mouvance néo conservatrice [5], M. Sarkozy a dîné dimanche à New York chez l’ancien ambassadeur et banquier démocrate Félix Rohatyn, en compagnie du maire Michael Bloomberg. [...] A Columbia, [...] la question portait sur ce que ferait M. Sarkozy s’il était élu. "Cela serait dangereux de répondre avec trop de sincérité, a-t-il dit, c’est trop tôt." [...] Nicolas Sarkozy s’est décrit comme "étranger dans son propre pays". "Moi je n’étais pas destiné à avoir les belles places. Il a fallu aller les chercher." [6]

Don Sarko au pays d’Arik

En décembre 2004, en suivant les traces du sénateur Hillary Clinton, du gouverneur Jim McGreevey et du maire Rudolph Giuliani, Sarkozy se rendait en Israël et salamalequait Ariel Sharon qui le reçut comme un chef d’Etat. (On se souvient qu’Arik le Ventru avait, en mai 2003, refusé de rencontrer Dominique de Villepin, qui était pourtant, à l’époque, le ministre français des affaires étrangères, mais qui avait eu l’intelligence et le courage de s’opposer à la guerre en Iraq. [7]) : Ariel Sharon et Nicolas Sarkozy se sont assurés de leurs bons sentiments respectifs, mercredi 15 décembre, au deuxième jour de la visite du président de l’UMP en Israël. Le premier ministre de l’Etat hébreu a qualifié son hôte d’"ami d’Israël". En retour, l’ancien ministre de l’économie français a pris soin, tout au long de son voyage, de manifester sa sympathie pour l’Etat hébreu. "Je suis venu écouter et comprendre une réalité complexe que vous vivez avec votre chair et que nous regardons avec la raison", a-t-il souligné, jeudi 16 décembre, lors de son intervention à Herzliya, devant les principaux acteurs de la vie politique et économique israélienne. "Ceux qui me connaissent savent que la première chose que j’ai faite lorsque je suis devenu ministre de l’intérieur en 2002, ce fut de reconnaître l’ampleur du problème - de l’antisémitisme - qui avait trop longtemps été sous-estimé", a-t-il ajouté. Veillant à ne déclencher aucune polémique, M. Sarkozy a saisi l’occasion de se démarquer des autres dirigeants politiques français : "Je sais que vous avez eu le sentiment qu’en France on restait trop insensible à votre souffrance et qu’à tout le moins vous n’aviez pas ressenti notre compassion." Tout au long de se séjour, M. Sarkozy a ainsi multiplié les signes de son empathie pour les problèmes de la communauté juive, qu’il s’agisse de la résurgence de l’antisémitisme en France et en Europe, ou de la sécurité de l’Etat d’Israël. "Je veux que vous compreniez que je vous ai compris", avait-il ainsi lancé à l’adresse des résidents français en Israël, mardi 14 décembre, dès son arrivée à Tel-Aviv. Dès le début de la matinée de mercredi, avant d’entamer la partie politique de son voyage, le président de l’UMP a déposé une gerbe sur la tombe d’Itzhak Rabin avant de s’arrêter au Mémorial de Yad Vashem, "musée" sur l’Holocauste construit sur les hauteurs de Jérusalem. Puis il a parcouru la partie arabe de la vieille ville, s’est promené dans le souk, serrant des mains, s’arrêtant dans des boutiques, sans déclencher la cohue à laquelle ses déplacements en France l’ont habitué. Il est vrai qu’ici, loin de Paris, dans ce dédale de rues, M. Sarkozy ne bénéficie pas - encore ? - de la popularité de Jacques Chirac. "Who is he ?", demandent la plupart des badauds. Ici, on se souvient surtout de l’altercation entre le chef de l’Etat français et les services de sécurité israéliens lors de sa visite en octobre 1996. "This is not a method, this is a provocation", avait lancé M. Chirac, menaçant de regagner la France. Un marchand de la Vieille Ville, qui n’a pas oublié l’incident, s’interroge : "M. Chirac, il vient ?" Et le chiraquien Eric Raoult, député (UMP) de Seine-Saint-Denis qui accompagnait la délégation, de répondre : "On vous a emmené son fils."
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wapasha
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MessageSujet: Re: Don Sarko et l’internationale sioniste   Don Sarko et l’internationale sioniste EmptyVen 15 Juil à 12:48

suite :

Citation :
Mais ce sont les contacts avec les hommes politiques israéliens qui ont le plus réjoui le président de l’UMP. "J’espère que cette visite contribuera à l’amélioration des relations entre la France et Israël", a commenté Ariel Sharon devant un Nicolas Sarkozy visiblement très satisfait. Les deux hommes, qui ne s’étaient jamais rencontrés, ont discuté pendant près d’une heure et demie, en présence notamment de l’ambassadeur de France en Israël, Gérard Araud. Accueilli en véritable homme d’Etat - "selon un protocole largement au-dessus de celui réservé généralement à un chef de parti", note un diplomate à Jérusalem -, le président de l’UMP a aussi rencontré Moshe Katzav, président de l’Etat israélien. "Nous avons parlé des relations entre nos deux pays, de la situation en Europe et de l’interdiction de la chaîne Al-Manar sur les ondes françaises", a expliqué M. Katzav alors que M. Sarkozy relevait que la France était "le seul Etat à avoir adopté une telle disposition contre une chaîne de télévision antisémite". Mais c’est le commentaire de Shimon Pérès, président du Parti travailliste, rencontré à la Knesset, qui lui sera allé droit au coeur : "C’est toujours important de recevoir les responsables politiques étrangers, a déclaré le leader de l’opposition israélienne. Il faut regarder vers le futur." [8]

Don Sarko au pays de Julia

Quelques semaines plus tard, Sarkozy s’envolait pour l’Ukraine, le pays de la "révolution orange" [9], où il retrouvait Julia Timochenko :
Au premier jour de sa visite en Ukraine, mercredi 9 février 2005, Nicolas Sarkozy n’avait que des raisons d’être heureux. "C’est extraordinaire ce que l’on voit ici", exultait le président de l’UMP. Extraordinaire la réception au palais de la présidence par Viktor Iouchtchenko, le leader de la "révolution orange", visage verdâtre et grêlé. Extraordinaire aussi la réception par le premier ministre, Julia Timochenko, dont les tresses blondes, nouées en bandeau autour du front, resteront comme le symbole de cette révolution pacifique. [10] [11]
Une autre source, là encore, nous éclaire mieux sur la nature des alliances que le Don compte forger dans cette région si riche en gaz et en pétrole [12].

Don Sarko au pays de Madelin et de Finkielkraut

En France, Don Sarko peut aussi compter sur l’appui de la famille pro-israélienne.
Ce soutien lui est sans doute garanti par certains membres de l’UMP comme Jean-Claude Gaudin [13], le vice-président de cette formation politique, Patrick Gaubert [14] ou Alain Madelin [15] :
Mardi 10 août, Alain Madelin, chef de file des cercles libéraux, s’est entretenu avec M. Sarkozy à Arcachon (Gironde). "Pour les libéraux qui se reconnaissent très mal dans la politique de Jacques Chirac et qui ne se sentent pas très bien dans l’UMP, Sarkozy incarne un espoir de réforme forte dont la France a besoin", a déclaré au Monde M. Madelin, à l’issue de cette rencontre. "J’ai évoqué mon souci de voir l’UMP se transformer en une machine à préparer l’avenir", a-t-il ajouté. Dès le mois de juin, le député d’Ille-et-Vilaine avait manifesté son soutien au ministre d’Etat [16].

Quant à Eric Raoult, vice-président de l’Assemblée nationale, membre de l’UMP et sioniste notoire [17], il nous chante les vertus du Don sur un air yankee :
Philippe Ridet : Pour quelles raisons soutenez-vous la candidature de Nicolas Sarkozy à la présidence de l’UMP ?
Eric Raoult : Il est, comme disent les Américains, "the right man in the right place at the right moment". [18]

Il serait intéressant de vérifier si les politiciens suivants sont eux aussi au diapason et s’ils soutiennent ce petit Etat raciste, brutal et théocratique qui s’appelle Israël :
Personne ne prononce publiquement le mot, mais en privé plusieurs élus parisiens évoquent la "déchiraquisation" en cours dans la capitale. Alors que le secrétaire départemental de l’UMP à Paris, Patrick Stefanini, jadis principal collaborateur d’Alain Juppé, vient d’annoncer sa démission en raison des poursuites judiciaires dont il est l’objet [...] -l’influence de Nicolas Sarkozy semble se renforcer dans ce qui fut longtemps le fief des chiraquiens. Ainsi, pour assurer sa réélection à la présidence du groupe UMP du Conseil de Paris, Claude Goasguen (UMP) [19] s’est-il rapproché du futur président de l’UMP. [...] La veille, Pierre Charron, ancien collaborateur de Jacques Chirac à l’Hôtel de Ville et aujourd’hui conseiller de M. Sarkozy, était devenu vice-président du conseil général à la faveur d’une primaire dont l’issue atteste l’évolution du rapport de forces. [...] Se définissant comme "le plus fervent sarkozyste de la droite parisienne", M. Charron prenait là une revanche. [...] Autre proche du ministre de l’économie, le sénateur Philippe Goujon, président de l’UMP dans la capitale, indique que "l’arrivée de Nicolas Sarkozy à la tête de l’UMP peut modifier le climat à l’intérieur de la droite parisienne". [20]

Par ailleurs, Sarkozy s’entoure de certains intellectuels connus comme propagandistes sionistes tels Alexandre Adler [21] :
Ce fut un déjeuner parmi tant d’autres. Le 5 avril, le ministre de l’économie et des finances recevait à Bercy "ceux qu’on appelle les intellectuels", selon les termes de son épouse et conseillère Cécilia Sarkozy. Laquelle avait vu grand : étaient conviés, en effet, les écrivains Denis Tilinac, Jorge Semprun, Philippe Sollers, Marc Lambron, François Sureau et Pascal Bruckner, les philosophes André Comte-Sponville, Alain Finkielkraut et André Glucksmann, la psychanalyste Julia Kristeva, les éditorialistes Alexandre Adler et Alain-Gérard Slama, ou encore l’ancien directeur de la revue Esprit, Paul Thibaud. [22]

Et quand vient l’heure de fêter Israël, le Don enfile son costume à paillettes et danse jusqu’à l’aube en compagnie d’Alain, de Bibi et de DSK : Vingt-deux ans qu’une telle manifestation n’avait pas eu lieu en France. La dernière en date remontait à 1981. Depuis, la communauté juive de France avait bien connu les Yom Hatorah (journées de la Torah) organisées par le grand rabbin de France, Joseph Sitruk. Mais elle n’avait pas revécu ces "douze heures pour l’amitié France-Israël". Si c’était un pari, il a réussi : 40 000 personnes, selon les organisateurs, ont participé, dimanche 22 juin [2003], à cette manifestation au parc des expositions de la porte de Versailles, à Paris. Les initiateurs étaient le Conseil représentatif des institutions juives de France (CRIF), le Fonds social juif unifié (FSJU), le Consistoire central et le Consistoire de Paris. Une grande partie de la communauté juive éprouvait le besoin de manifester son attachement à Israël, et de se réconforter après une succession sans précédent d’actes antisémites. [...] Le hall de conférence était envahi par un public passionné, qui applaudissait Enrico Macias et chantait La Marseillaise. Le président du comité d’organisation, Meyer Habib, a exprimé à la tribune son "incompréhension face à la politique de la France, qui ne reconnaît pas le Hamas et le Hezbollah comme des organisations terroristes, qui ne reconnaît pas Jérusalem comme la capitale d’Israël, éternelle et indivisible".

Plusieurs hommes politiques sont intervenus, au cours d’une soirée animée par le journaliste Ivan Levaï, en présence de l’ancien premier ministre israélien Benyamin Nétanyahou. Celui qui a été le plus applaudi, juste derrière Alain Madelin, est sans nul doute Nicolas Sarkozy. "Israël est une grande démocratie, et c’est suffisant pour être salué et respecté", a souligné le ministre de l’intérieur. "C’est la raison pour laquelle je n’ai pas accepté que le drapeau israélien soit bafoué par une croix gammée au cours des manifestations qui ont eu lieu contre la guerre en Irak. Parce que c’est de l’incitation à la haine raciale. Israël a le droit à la sécurité, comme toute démocratie dans le monde, ni plus, ni moins." [...] C’est l’ancien ministre des finances Dominique Strauss-Kahn qui s’est employé le plus vigoureusement à recoller les morceaux avec une communauté juive visiblement fâchée avec la gauche : "Comme juif, j’ai une sympathie naturelle pour Israël. Comme socialiste, j’ai une sympathie politique. La gauche vous a déçu. Il y a eu des notes non autorisées - allusion à un texte rédigé par l’universitaire Pascal Boniface, préconisant un changement de politique du PS à l’égard d’Israël -. Elles étaient misérables...". Et M. Strauss-Kahn de conclure : "Je vous annonce que la gauche est de retour !" [23] [24]

Souhaitons que le prochain bal masqué de la famille sioniste de France ne se tienne pas à l’Elysée.
Par égard pour les Palestiniens et pour le monde arabe, il faudra sans doute retirer au Don sa carte de séjour...
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