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 Paris : NON à la suppression des jardins d’enfants !

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wapasha
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wapasha


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MessageSujet: Paris : NON à la suppression des jardins d’enfants !   Paris : NON à la suppression des jardins d’enfants ! EmptySam 4 Juin à 14:07

altermonde.levillage-REÇU DE MATT-samedi 4 juin 2005
Paris : NON à la suppression des jardins d’enfants !

Il s’agit d’une information dont la plus grande diffusion est souhaitée car il y a possibilité de faire gagner la cause qui y est défendue par la diffusion même de l’information.

Merci, si vous avez accès à des sites web d’informations générales ou militantes de diffuser ce texte.

Pour mémoire, par ailleurs, Bertrand Delanoë Maire de Paris défend le traité constitutionnel et n’a pas accordé à ses personnels municipaux, sur Paris, de jour férié le Lundi 16 Mai 2005, dit Lundi de pentecôte. Appliquant avec zèle la politique gouvernementale"


Citation :
Source CNT et AIT

Sous couvert d’une concertation manipulée, la Mairie de Paris envisage très sérieusement de supprimer les 22 jardins d’enfants de la capitale...


Si nous sommes informés de ce scandale, c’est parce que certains d’entre nous sont directement concernés. Conscients qu’en dehors du cercle restreint des parents, enfants, anciens élèves, éducateurs de la petite enfance et autres professionnels de la petite enfance, une majorité de parisiens connaissent peu ces structures s’ils n’ignorent pas carrément leur existence. Une expérience originale, novatrice, ancienne de plus de 70 ans et qui a fait ses preuves dans le domaine pédagogique et psychosocial, véritable alternative publique et laïque, aux classes de maternelles surchargées et aux rythmes désorganisant, risque de disparaître sans même que ses apports originaux n’aient été pris en compte pour améliorer l’école.

Nous avons donc conçu ce texte afin de faire connaître à l’extérieur du cercle des initiés l’existence de ces jardins d’enfants de l’OPAC et de la lutte qui s’y mène pour la poursuite de leur existence. La Mairie de Paris plus coutumière des manifestations spectaculaires et festives comme Paris-plage ou la nuit blanche, a jusqu’à présent misé sur cet isolement de circonstance, pour discrètement mener en bateau, collectif de parents et de personnels en lutte depuis 3 ans, et ainsi faire avancer son projet de suppression des jardins d’enfants. C’est pourquoi nous vous demandons si cette cause vous interpelle d’en faire circuler le contenu et d’interpeller les responsables de cette suppression.

Chaque fois que, de façon éphémère et médiatique, une action des parents et/ou des personnels a pu rendre quelque peu public ce scandale en cours, la mairie a du se justifier de façon confuse et a semblé reculer..., pour mieux revenir à la charge dés que l’effet médiatique s’était dissout. Nous en avons la certitude seule la mise au grand jour sur la place publique, à la lumière des critiques, de ce projet scandaleux de la Mairie de Paris permettra de lui faire abandonner la destruction de ces structures, qu’elle a en réalité programmée. Nous espérons ici contribuer à la diffusion la plus large possible de ce scandale. Merci de nous y aider.
* * *
Histoire des jardins d’enfant de l’OPAC : liés à l’histoire du logement social.

21 Jardins d’enfants de l’OPAC ont été créés entre 1921 et 1937. Le 22ème fut créé en 1951. Ils furent créés dans les HBM puis dans les HLM. Au début ils étaient réservés aux parents vivant dans ces logements, en 1969 ils furent ouverts à des familles extérieures, ce qui accru la possibilité de mixité sociale. En 1986, la gestion de ces structures fut confiée à la Mairie de Paris, laquelle depuis 2004 envisage leur suppression pour créer des lieu d’accueil pour enfants de moins de 4 ans, alors que les jardins s’adressent à des enfants de 2 ans 1/2 à 6 ans, comme alternative à la maternelle avant le cours préparatoire. Il existe une tarification en rapport avec les frais des écoles maternelles publiques, elle reste accessible par vocation sociale aux familles très modestes. Les parents souhaitant un accueil dans ces structures le font sur demande aux directrices ou aux commissions d’admission municipales. Ils sont situés dans 8 arrondissements périphériques de la capitale.

Spécificité des jardins d’enfants de l’OPAC et apport original social et pédagogique.


Si les 3 années que l’on peut passer dans ces jardins d’enfant respectent les programmes de maternelle, le projet pédagogique et psychosocial est différent.
Encadrés par des éducateurs de jeunes enfants, il s’agit de petites sections de moins de 20 enfants. Le suivi y est personnalisé en articulation avec la vie collective. L’enfant développe la curiosité, l’envie d’apprendre, l’autonomie et la prise en compte de l’autre. Les rythmes biologiques sont sauvegardés et même chez les "grands" la sieste est possible si l’enfant en a besoin. Il est transmis plus une envie d’apprendre qu’un "bourrage de crâne" et ces enfants en sortant s’adaptent la plupart du temps très bien en CP en gardant leur indépendance d’esprit. Le fait que ce soit de petites structures et qu’il y ait du personnel fait que chaque enfant est bien suivi ce qui permet de mettre l’accent sur l’enfant qui présente des difficultés, soit par la langue française, soit parce qu’il porte un handicap psychique ou physique, soit parce qu’il vient d’un milieu en grande détresse sociale.

Il existe une mixité culturelle et sociale réussie, homogène, et en devenir au sein de ces jardins d’enfants. Les enfants sont issus de milieux sociaux diversifiés : 1/4 des enfants ont des familles dont les revenus sont inférieur au RMI. Les 2/3 des familles ont des revenus inférieur au revenu moyen parisien (27 600 Euros/an).

Il existe une grande pluralité des origines culturelles. Les jardins d’enfant de l’OPAC accueillent un nombre important (21,5%) d’enfants rencontrant des difficultés psychosociale dés la petite enfance. Ils accueillent aussi des enfants porteurs de handicaps. Nombre de ces enfants dans un enseignement maternel classique de par la surcharge des effectifs et le non respect des rythmes scolaires, par les difficultés psychosociale, les handicaps ou les difficultés linguistique, auraient pu se retrouver marginalisés et en grande difficulté scolaire dés la maternelle, alors que le suivi personnalisé et adapté à chacun permet à tout enfant de développer le meilleur de lui-même avant d’intégrer le CP. En cela c’est une formidable réussite, dont le bilan devrait inspirer de façon concrète tout l’enseignement préscolaire.

Depuis plus de 70 ans combien d’enfants ont pu échapper ainsi à un devenir qui semblait tout tracé en négatif ? Et on voudrait supprimer cela ? Bien sûr, il ne s’agit pas de dresser un tableau idyllique, c’est un travail dur qui nécessite un suivi quotidien, des réunions institutionnelles, un bon travail collectif pédagogique et ce n’est pas tous les jours facile, mais cela vaut le coup de suivre cette route. Rajouter des difficultés démoralisantes par des projets de suppression n’est pas bien venu.

L’argument qui consisterait à dire qu’il faut les supprimer au nom de l’égalité, parce que tous les enfants ne peuvent bénéficier de ce suivi est fallacieux. De quelle égalité parlons nous ? De cette égalité qui sait nommer et reconnaître les difficultés pour aider avec tous les moyens nécessaires et adaptés ceux et celles qui en ont besoin, comme c’est fait dans les jardins d’enfant ? Ou bien cette pseudo égalité chère aux élites dirigeante inspirées de Rousseauisme et d’idéocratie bien pensante et politiquement correcte, qui au nom de l’égalité, pour ne pas "stigmatiser" refuse de reconnaître les difficultés particulières de certains enfants, tout en continuant, de les faire passer d’année en année, de classe en classe, sans soutien particulier, cumulant pourtant des lacunes les plus élémentaires. Comment s’étonner dés lors que des écarts se creusent de façon infranchissable entre élèves à qui l’on a fait croire qu’ils iraient jusqu’à leurs diplômes et qui voient les portes de la réalité se refermer sur eux et ceux qui dans un climat plus serein ont pu suivre une scolarité sans histoire et décrocheront leurs diplômes.

Comment s’étonner que le boomerang revienne par le biais de cette fameuse violence scolaire fondée sur l’irrespect qui est souvent le fait d’élèves livrés à eux-même avec leur lacunes et leur honte secrète. Comment voulez vous qu’ils retrouvent une identité digne autrement que dans la violence pour éviter l’autodestruction ? Une violence qui n’est elle même pas juste du point de vue de celles et ceux qui la subissent, mais qui doit tout de même s’analyser, s’expliquer. On voit que la sélection par "l’égalité bien pensante des élites" (J.J. Rousseau est le père de l’Etat despotique moderne) nourrit plutôt un libéralisme d’économies rognants sur les droits et devoirs arrangeant bien ceux qui veulent rationner les moyens et sans doute continuer à sélectionner par le bas les esclaves modernes dont ils ont besoins. De même la reproduction de la violence constitue l’alibi nécessaire au développement du business sécuritaire. Car voilà, le prétexte à la fermeture des jardins ce serait les économies, l’alibi en étant l’égalité. Bien vu !

La suite en dessous :
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wapasha
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MessageSujet: Re: Paris : NON à la suppression des jardins d’enfants !   Paris : NON à la suppression des jardins d’enfants ! EmptySam 4 Juin à 14:11

La suite :

Citation :
Histoire et climat opaque de la volonté politique de leur suppression.

Parents et personnels ont eu du mal à découvrir les projets occultes de la Mairie de Paris.
Dés 2002, La Mairie cherchait à limiter les places d’acceuil des enfants de plus de 4 ans, pour créer des place de crèche supplémentaires, concernant des enfants de moins de 3 ans, 2 ans 1/2. Les enfants des jardins d’enfants auraient donc du aller en maternelle (classes déjà surchargées...). Mais la justification économique ne tient pas debout, car si la réfection des jardins d’enfants est coûteuse et nécessaire, transformer ces lieux en crèche nécessitera des travaux encore plus lourds et un problème avec le personnel. Les personnels de jardins d’enfants sont des éducateurs spécialisés. Ceux des crèches sont puéricultrices et auxiliaires puéricultrices. Un autre univers ! Comment faire sans supprimer des emplois ?

Et avec quelles ressources et vocations pour la formation de puéricultrice et d’auxiliaires ?


En tout cas dés le départ le projet a été tenu secret, et les parents (électeurs ?) écartés. Les personnels invités, par pressions, à se soumettre ont eux été fermement rappelés à leur "devoir de réserve". Cependant les organisations professionnelles s’étant prononcées contre et ayant fait circuler une pétition (Avril 2004), la Mairie a été contrainte d’accepter un groupe de travail. C’est là que s’est constitué le collectif de parents.

Cependant, l’information n’aura jamais été explicite, Olga Trostiansky, adjointe au Maire de Paris en charge de la petite enfance depuis 2001, aura su manier avec talent une langue de bois confusionniste digne des meilleurs "politbureaux" ! Notamment après la journée de grève et de manifestations rassemblant, parents, professionnels et enfants le 18 Novembre 2004.
Il faut dire que chaque mise sur la place publique de cette question pousse la Mairie à mettre en oeuvre une communication se voulant des plus déstabilisante. Sauf que ce petit jeu est tout de même bien repérable ! Seul exploit d’Olga Trostiansky est d’avoir dans une interview accordé à "Paris mômes" N°40 d’Avril-Mai 2005, ce supplément au quotidien Libération concernant les enfants de 0 à 12 ans, annoncé la création d’une direction de la famille et de la petite enfance, reléguant le social à la Direction des affaires sociales et voulant construire une politique familiale à l’échelle de la ville. Ne pas ouvrir de nouveaux lieux "parents-enfants", mais créer des moments "privilégiés de rencontre dans des lieux déjà existants". Des mini Paris-Plages partout et pour les familles en quelque sorte.
Pourquoi pas d’ailleurs. Mais Olga Trostiansky qui envisage par ailleurs de soumettre au vote du conseil de Paris la création de conseils de parents dans les crèches, n’a évoqué en aucun cas les jardins d’enfants et leur suppression. Sans doute n’ont-ils jamais existés, ce qui sera commode pour les faire disparaître en silence ! Staline un enfant de Rousseau !
D’autre part Olga Trostiansky joue au ping-pong lorsque acculée à répondre elle renvoie l’affaire sur l’autorité du Maire Bertrand Delanoë.

Voilà en résumé les difficultés pour faire sortir le scandale du ghetto !

Mise en garde sur les enjeux politiciens : Comment s’en servir sans en être l’objet !


De principe le STCPP de par ses options s’oppose à l’intérêt des politiciens quels qu’ils soient. Nous avons tout de même conscience qu’ils font parti qu’on le veuille ou non du paysage, et ainsi doivent être analysés pour affiner les stratégies d’action. Sans leur accorder nos suffrage et sans illusions sur leur capacité réelle à changer la vie, nous pensons que prendre ses affaires en main passe aussi par l’utilisation des contradictions inhérentes aux enjeux de pouvoir. En désespoir de cause il est donc légitime qu’un collectif de parents cherche l’appui d’autres élus pour se faire entendre. Il est légitime pour faire gagner cette cause de faire feu de tout bois. Mais il faut en mesurer les limites et savoir garder la main. Prendre en main les contradictions politiciennes, mais ne pas se faire manipuler par celles-ci comme objets d’autres enjeux. Le cas de la réunion sur les jardins d’enfants qui devait se tenir le 16 Avril 2005 à la Mairie du IIème (Le 2ème arrondissement de Paris n’a pas de jardins d’enfants) est éloquent.

Annoncée par tract et par presse (Journal du Dimanche) comme réunion publique avec parents, professionnels, médias et élus y compris de l’opposition, cette réunion fut annulée au dernier moment par la Mairie du 2ème. Des pressions de la Mairie de Paris ont été alors fortement évoquées ce qui ne contredisait pas sa gestion opaque de la crise. Il semblerait après enquête que cela soit moins simple que cela. En fait la salle aurait été réservée et présentée comme telle au Maire vert du 2ème comme une réunion de travail et d’étude sur la question des jardins d’enfants et non pas comme une réunion publique. Il s’avère en effet que certains Verts (majorité) soutiennent la lutte des parents et des personnels sur certains arrondissements. Des élus UMP (opposition), notamment la pédiatre Edwige Antier, adjointe au Maire du 8ème, aurait alors profité de la situation pour pousser à la réunion publique dans le 2ème. La Mairie du 2ème arrondissement soucieuse de ne pas être manipulée par l’UMP fit alors marche arrière et annulé la réunion. Il faut savoir qu’au Conseil de Paris, la somme des voix Verts et UMP pourrait en effet mettre en minorité PS et PC à ce jour favorables à la fermeture des jardins d’enfants.

Mais les verts, pour des raisons qui dépassent les jardins d’enfants, ne voudraient pas s’aligner sur un mouvement qu’ils estimeraient déjà pris en main par une UMP qui prévoit déjà d’inscrire la suppression des jardins d’enfants comme argument électoral..
Le risque actuel est que ce mouvement juste et populaire ne soit isolé par la majorité de la Mairie de Paris et stigmatisé comme mouvement de droite ! Ce qui serait un comble compte tenu de la teneur sociale et pédagogique des jardins d’enfants.. Tous ces calculs politiciens sont fortement écoeurant et risquent de nuire à l’image de ce combat. C’est pourquoi nous souhaitons que le mouvement de parents et de personnels "garde la main" dans ses décisions et s’il est légitime dans toute lutte difficile d’accepter des soutiens il faut rester très reservé dés lors que ces soutiens sont d’origine politicienne !

Nous mettons en garde l’actuelle majorité à la Mairie de Paris sur les risques encourus à persister dans ce projet. En effet, n’ayant aucun enjeux politicien à défendre, nous ne lâcherons pas la dénonciation de ce scandale ni avant ni après au cas où il aurait persisté, lorsque viendra l’heure du bilan... La seule sortie de crise honorable pour la Mairie de Paris, qu’il s’agisse de Bertrand Delanoë ou d’Olga Trostiansky, est d’enterrer définitivement, lisiblement et crédiblement ce projet de suppression et de s’acquitter des travaux de réfection.

Nous réclamons que ce projet soit abandonné de façon claire, publique, définitive et écrite sous le contrôle vigilant du collectif de parents et des personnels. Et que soit donc reconnu sans ambiguïté le principe de l’accueil des enfants de 2 ans 1/2 à 6 ans. Nous appelons à ce que cette expérience historique puisse servir de référence et ainsi se répandre en améliorant de façon décisive pour la réussite personnelle de tous, à commencer par l’école maternelle. A ce propos nous dénonçons les classes surchargées, et rythmes scolaires contraires à l’horloge biologique des jeunes enfants et appelons par ailleurs à un effort pédagogique et psychosocial soutenu d’aide à ceux et celles qui pour des raisons sociales ou familiales partent dans la vie avec de grandes difficultés, seule façon d’entrevoir l’égalité. Enfin, nous appelons à l’augmentation des places en crèche de façon à répondre aux besoins, ce qui implique formations et embauche de personnels, là aussi, dans des conditions décentes d’attractibilité.

Pour en savoir plus, site web du collectif des parents : http://www.soutienjardinsdenfants.net/

Pour protester, outre le fait de diffuser l’information :

Téléphoner aux élus chargés de la petite enfance, pour dire votre vigilance et votre refus de voir ces structures liquidées...
A commencer par : Madame Olga Trostiansky : 01 42 76 61 97.

Vous trouverz les autres coordonnées sur le site web.

nb - On rapprochera pour les raisons économique et la méthode d’action de la Mairie de Paris, la même attitude concernant la vente d’entreprise publiques de traitement de l’eau et la vente à des projets immobiliers démesurés la dalle de Beaugrenelle plutôt que de financer sa réfection. Et ceci en dehors de l’avis des concernés (usagers de l’eau courante et riverains)

nb - Il faut se rappeler que c’est pour s’aligner sur les critères de Maastricht en matière de formation professionnelle que furent supprimées des formations professionnelles en matière de santé notamment et qui font aujourd’hui cruellement défaut. L’harmonisation technocratique pourra donc bien, au delà des projets d’une mairie, supprimer l’expérience des Jardins d’enfants. Ainsi faut-il se méfier des formations politiciennes qui soutiennent un traité constitutionnel pouvant mener à terme à une harmonisation forcée...

nb - Bien qu’il s’agit de grands enfants (10 ans passent vite), cette fois, notre position est d’être solidaire vis à vis de la lutte continue des comités d’action lycéens contre la "loi" Fillon et dénonçons la féroce répression et le dénigrement dont ils sont victimes.
source : http://altermonde.levillage.org/article.php3?id_article=2924

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